Poissy: il dé­couvre que le père bio­lo­gique de ses 3 en­fants est un co­lo­nel vi­vant au Congo

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Un Congo­lais ha­bi­tant Poissy avec sa fa­mille est dans tous ses états après avoir dé­cou­vert que les 3 en­fants qu’il croyait sien sont en réa­lité d’un co­lo­nel des forces ar­mées congo­laises qui vit à Kin­télé à Braz­za­ville. Sa femme le lui au­rait pré­senté comme son oncle et ve­nait même man­ger chez lui. Le pire est que son épouse lui de­mande de quit­ter l’ap­par­te­ment fa­mi­lial.

« Cer­taines femmes en France sont de vé­ri­tables sor­cières qui tuent leurs hommes à pe­tit feu. Ce que Gla­dys a fait, est le haut ni­veau du mau­vais cœur» com­mente un ami de Ro­land, le pauvre pa­ri­sien co­cu­fié par ce co­lo­nel de Braz­za­ville.

Ro­land qui vit en France de­puis des an­nées a sans doute com­mis la plus grande er­reur de sa vie en ra­me­nant du Congo, une fille qu’on lui a pré­senté lors de son court sé­jour. Il igno­rait sans doute que Gla­dys était amou­reuse d’un autre homme qui est mi­li­taire et que lui, n’ était juste qu’une échelle pour ar­ri­ver en Eu­rope.

Dieu a opéré un mi­racle dans Ro­land qui a in­ter­cepté des conver­sa­tions via What­sapp de son épouse et le fa­meux co­lo­nel des FAC qui lui ont per­mis de dé­cou­vrir le men­songe dans le­quel il vi­vait. Âgés res­pec­ti­ve­ment de 10ans, 8 ans et 5 ans, les trois en­fants portent hy­po­cri­te­ment le nom de Ro­land qui s’est tou­jours battu pour sub­ve­nir à leurs be­soins.

Au­jour­d’hui, il re­grette toutes ses dé­penses et sur­tout mau­dit le jour où Gla­dys lui a an­noncé avoir ob­tenu le visa de France. «C’était le jour du dé­but de ma poisse » re­late-t-il. A l’ins­tar de la ma­jo­rité des Congo­laises que les hommes ra­mènent en France, Gla­dys est sans cœur en de­man­dant à Ro­land de li­bé­rer la mai­son.

«Je me sou­viens en­core que ce co­lo­nel ve­nait chez moi à Poissy et je le lais­sais avec ma femme croyant que c’était son oncle… Les gros­sesses n’ont-elles pas été mises dans mon propre lit?» confie Ro­land en pleurs qui se rap­pelle en­core des pa­roles de sa dé­funte mère de ne pas com­mettre cette bê­tise de faire ve­nir une femme en France. Gla­dys à néan­moins le tou­pet de jus­ti­fier son in­fi­dé­lité en cra­chant à Ro­land de ne pas l’avoir obligé de la ra­me­ner en France.