Léon Juste Ibombo, le mi­nistre pas­teur ré­com­pensé par le «do­beur» de sa femme

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L’ac­tuel mi­nistre des postes et té­lé­com­mu­ni­ca­tions, Léon Juste Ibombo est l’unique qui doit son poste grâce à l’in­fi­dé­lité de son épouse avec son propre cou­sin. Ed­gar Nguesso a ré­com­pensé Léon Ibombo après avoir brisé son foyer en France.

En France, le mi­nistre Léon Juste Ibombo n’était qu’un vi­gile dans les ma­ga­sins et centre com­mer­cial bien qu’il ment au­jour­d’hui avoir des di­plômes. Une vie dif­fi­cile qui était à la base des dis­putes constantes dans son couple dont la femme ga­gnait plus que lui.

Son cou­sin Ed­gar Nguesso qui est venu le vi­si­ter un jour dans sa ban­lieue est tout de suite tombé amou­reux de son épouse comme l’au­to­rise la tra­di­tion Mbo­chis. C’est pen­dant les ab­sences de Léon Juste Ibombo qu’Ed­gar Nguesso pro­fite pour faire la main noire à son cou­sin à do­mi­cile.

Quand les voi­sins le disent à Léon Juste Ibombo, il est vic­time d’une dé­pres­sion et quitte la France pour le Congo. A Braz­za­ville, il de­vient non seule­ment pas­teur dans une église à Poto-Poto, mais aussi ana­lyste po­li­tique sur la chaîne MNTV de Mau­rice Nguesso.

Une vi­si­bi­lité qui va tou­cher le cœur de son cou­sin Ed­gar Nguesso et conduire à leur ré­con­ci­lia­tion. Ed­gar fera com­prendre à son cou­sin Léon Juste que la main noire est au­to­ri­sée dans la fa­mille et qu’ils ne peuvent se sé­pa­rer pour une femme. Il lui confie la di­rec­tion de son as­so­cia­tion po­li­tique d’abord avant de don­ner son nom à la for­ma­tion du pre­mier gou­ver­ne­ment Mouamba.

Conscient de ses li­mites in­tel­lec­tuelles sur la ges­tion d’un mi­nis­tère aussi im­por­tant que ce­lui des PTT, Léon Juste Ibombo s’en­toure des vrais in­tel­lec­tuels pour ne pas dé­ce­voir son cou­sin Ed­gar Nguesso et adhère à la Grande Loge du Congo et à la thèse de la main noire et in­ceste du clan d’Oyo. Le do­beur de son épouse a su bien le ré­com­pen­ser au point de ne plus ja­mais re­gret­ter cette tra­hi­son nor­ma­li­sée de­puis.