Les passagers du vol Air France du vendredi 16 août à destination de Brazzaville ont craint pour leur vie après que le pilote ait été victime d’un AVC en plein vol. Grâce à la dextérité du copilote, l’Airbus A330 a regagné Roissy deux heures après son décollage du même aeroport. C’est à 23h 17 que l’appareil s’est posé à Maya Maya au Congo.
Généralement, c’est entre les mois d’août et septembre que le Congo a toujours été victime d’une grande catastrophe. Après que les ancêtres aient évité le crash à Pointe-Noire d’un Boeing de TAC, c’est au tour d’un Airbus d’Air France de biper les Congolais.
Hier vendredi 16 août, les passagers ayant embarqué dans le vol Air France au départ de Paris et à destination de Brazzaville ont failli déclencher un deuil national juste après les festivités du 15 août.
Une heure après que l’appareil ait décollé de l’aéroport parisien de Roissy Charles De gaulle, le pilote a été victime d’un AVC, alors qu’il survolait la méditerranée en direction de l’Algérie.
Le copilote a usé de son sang froid et dextérité pour ramener l’appareil au point de départ. Un atterrissage à l’aéroport de Marseille a été envisagé avant d’être écarté suite à la maîtrise de la situation par le copilote.
Dans l’Airbus A 330, alors que les passagers français faisaient preuve d’un calme bien qu’inquiétant, les Congolais eux, comme dans leur nature se sont lancés dans les prières à haute voix.
Un passager français affirme n’avoir entendu autant le nom de Jésus Christ de sa vie. Les mêmes qui criaient le nom du fils de Dieu se sont enivrés d’alcool une fois la situation maîtrisée et à l’abri de la mort.
C’est un peu vers 15h, que l’appareil a redécollé de Roissy pour atteindre Brazzaville vers 23h 17