Oyo : le fief du pouvoir Mbochis très sale comme le clan Sassou alors qu’Averda de Omar Denis perçoit des milliards de l’État

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Dire que le clan Sassou s’occupe mieux des Mbochis est un leurre au vu de la vie difficile que vivent les populations dans la Cuvette centrale. Le cas d’Oyo reflète bien l’égotisme et cynisme de clan qui n’a besoin des Mbochis que lors des élections. Le chômage et la précarité caractérisent le quotidien des populations d’Oyo par exemple alors qu’au sud on croit qu’elles vivent mieux. Les poubelles qui jonchent les rues d’Oyo est un exemple de cette misère infligée aux habitants alors que de l’autre côté, les zones résidentielles du clan Sassou bénéficient d’un entretien spécial.

Même avec toutes les faveurs dont il bénéficie de l’État, Denis Omar Junior Bongo est incapable de s’imposer avec sa société AVERDA, devenue sujet de moquerie des congolais. Et c’est ainsi qu’il rêvait diriger le Gabon ! Les villes congolaises reflètent le pouvoir de Brazzaville, infecté des personnes sales d’esprit et dans leurs mentalités.

Poubelle dans une rue d’Oyo

Même la capitale politique Brazzaville n’est pas épargnée de l’incompétence d’Averda de Denis Omar Bongo. Des poubelles font des mois sans être ramassées sans que cela ne gêne pas les autorités politiques.

Vu le tribalisme du clan Sassou, on ne pouvait pas s’imaginer que la localité d’Oyo qui est leur fief pouvait aussi être victime de leur mauvaise foi. Les populations de ce gros village cohabitent avec des déchets ménagers alors qu’Averda continue de recevoir des subventions de l’État sans payer les impôts.