L’homosexualité d’Emmanuel Macron n’est pas un secret dans plusieurs palais présidentiels africains

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« Nous savons tous ici que le président français Emmanuel Macron est un homosexuel d’où son obsession à promouvoir cette orientation sexuelle en Afrique. Mais c’est sa vie privée et ça nous intéresse pas ! » a confié une source bien introduite au sein du palais présidentiel du Gabon. Dans tous les palais présidentiels d’Afrique francophone, nul n’ignore l’homosexualité d’Emmanuel Macron qui est parfois sujette des moqueries.

A Brazzaville, Emmanuel Macron a été reçu au pied de l’avion par son homologue congolais Denis Sassou Nguesso le 03 mars 2023. Un fait que beaucoup de congolais ont reproché à leur président qui n’est jamais reçu en France par Macron.

Après les civilités à l’aéroport, les deux présidents ont eu un entretien au palais présidentiel du plateau à Bacongo. Des bouches du protocole comme de la sécurité on pouvait facilement entendre:« Le président aussi nous fait honte, comment peut-il aller à l’aéroport recevoir un petit PD fut-il président de la France!»

A Kinshasa, le même scenario s’est reproduit avec le face à face avec la presse où Felix Tshisekedi a rappelé Emmanuel Macron à l’ordre sur ses propos paternalistes. Ce sont les journalistes de la RDC qui se sont demandé comment un PD pouvait venir à Kinshasa manquer du respect à son peuple.

C’est au palais présidentiel d’Abidjan en Côte d’Ivoire que le président français peut compter ses supporters. « Macron, c’est l’ami d’ADO et de la Côte d’Ivoire, c’est pourquoi on autorise la vulgarisation de l’homosexualité ici…On sait tous que lui-même est un gros PD qui se cache derrière sa vielle femme »

C’est au Cameroun que Macron a ses ennemis déclarés. Ce pays a refusé la venue de l’ambassadeur LGTB français qui envisageait venir promouvoir cette orientation sexuelle. Dans les médias locaux, les journalistes n’ont pas hésité à rappeler l’homosexualité du président français et à le traiter de tous les noms.

Victoria Nuland, sous secrétaire d’État américain qui a eu des discussions houleuses avec le nouveau chef d’État major de l’armée nigérienne à Niamey a confié que ce dernier lui aurait dit que son pays ne pouvait être menacé par un petit PD qui gouverne la France.