Kintélé : Le colonel Oyoki de la DGSP retrouvé mort dans un hôtel juste après avoir joui sur sa Mbappé

Le bounga bounga qui s’est installé dans la meute militaro-politique du Congo vient de faire son énième victime en la personne d’un officier supérieur des forces armées congolaises. « Il est mort au combat comme Papa Wemba » chuchotent les songueurs qui auraient bien aimé que ce combat soit celui de la défense de la patrie. Grand amoureux des mineures qu’il gâtait avec des cadeaux, le colonel Luc Oyoki est décédé sur l’une d’elles suite d’un AVC juste après fini de jouir. «  Au moins il est mort dans le goût ».

C’est dans une auberge discrète située à Kintélé au nord de Brazzaville que le corps sans vie du colonel Luc Oyoki a été retrouvé par la réceptionniste après l’alerte de la mineure de 17 ans qui l’accompagnait.

Quelques heures plus tôt, le couple avait pris leur quartier dans une chambre climatisée avec grand écran plasma, frigo et une vue splendide sur le paysage de Kintélé. A en croire le témoignage de la mineure, son Suggar Dady Luc Oyoki était un habitué des aphrodisiaques et aurait mis 45 minutes sur elle avant de jouir.

Dans son goût, le colonel Luc Oyoki aurait lancé des cris de victoire en langue Mbochis avant de se plaindre du cœur : « Ah ngai motema moto ! » répétait-il avant de s’écrouler. Apeurée par cette triste expérience, la mineure a alerté la réceptionniste qui s’est rendu immédiatement dans la chambre accompagnée d’un agent de sécurité.

Ignorant les premières mesures de secours face à une telle situation, les deux employés de cette auberge n’ont fait que constater le décès du colonel et ont couvert son corps d’un drap avant d’alerter la police.

Selon cette mineure qui vit encore chez ses parents à Nkombo, elle était depuis trois mois juste en relation avec le colonel. C’est un petit à confiance de l’officier qui les aurait mis en contact. Face au reproche de sortir avec un vieux, elle a rappelé que c’était non seulement un bon payeur, mais aussi une bonne machine au lit.

Le colonel Luc Oyoki laisse une veuve et cinq enfants dont une fille de 17 ans aussi. Il était détaché à la sécurité présidentielle et âgé de 49 ans. Que Dieu veille sur l’âme de vaillant « dobeur » mort au champ de bataille.