« Epoux de la fille du président de la république » la mention dans le passeport diplomatique de Willy Etoka

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Ebonga ebonga té tou­jours meilleur ! Obosso ! C’est l’époque de la fa­mille Sas­sou Nguesso, tout au moins ça tou­jours été leur époque de­puis plus de 40 ans. L’homme de qui ont di­sait être le plus riche du Congo ( Forbes Afrique ) avec une for­tune de 500 mil­lions de dol­lars n’était en réa­lité qu’un prête – nom du clan Sas­sou. Du haut de sa for­tune de mil­liar­daire en Cfa, Willy Etoka s’est vu dé­li­vrer un pas­se­port di­plo­ma­tique avec men­tion « Époux de la fille du pré­sident de la ré­pu­blique».

A Oyo, lors des re­trou­vailles fa­mi­liales, les Sas­sou Nguesso se moquent éper­du­ment de tout ce que les Congo­lais pensent ou disent d’eux. Tant que les cri­tiquent ne dé­rangent en rien leur pou­voir, ils ne vont chan­ger en rien dans le com­por­te­ment de pré­da­teurs du Tré­sor Pu­blic de leur royaume.

Ma­rié dis­crè­te­ment à Clau­dia Sas­sou Nguesso après des an­nées de har­cè­le­ment de cette der­nière, Willy Etoka est de­venu la ri­sée de sa vé­ri­table et pre­mière épouse Joly qui lui rap­pelle chaque fois que son beau-père est aussi son ri­val. D’autres sources parlent d’une en­tente entre Joly et Willy pour s’en­ri­chir da­van­tage sur le dos de Clau­dia Sas­sou et sa fa­mille.

Plu­sieurs sources du mi­nis­tère des af­faires étran­gères confirment que le ci­toyen mil­liar­daire et pre­mière for­tune du Congo a bel bien reçu son pas­se­port di­plo­ma­tique dont le mo­tif de dé­li­vrance n’est entre autre que ce­lui de «  époux de la fille du pré­sident de la ré­pu­blique »

Tout est mil­lion­naire en dol­lars ( 500 ) ré­duit au rôle d’ un simple MA­RIO qui doit s’ac­cro­cher au pa­tro­nyme de son épouse pour ob­te­nir des fa­veurs qu’il a pour­tant ob­tenu dans sa peau de Tra­der pé­tro­lier.

Un po­li­cier en poste dans le sa­lon VIP de l’aé­ro­port de Maya Maya n’a pas hé­sité à faire du son­gui son­gui après avoir lu ce qui était écrit dans le pas­se­port de Willy Etoka. Ils sont at­tris­tés de voir com­ment la pre­mière for­tune du pays a des­cendu aussi bas.