En séjour médical à Paris ( cancer de la peau et prostate ), Isidore Mvouba insulté par un médecin antillais

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Le président du parlement Congolais, Isidore Mvouba séjourne actuellement en France pour des raisons médicales. Incapable avec sa bande de construire des structures hospitalières au Congo, il profite de son statut social pour jouir du patriotisme des dirigeants français envers leur pays. Dans le centre hospitalier où Mvouba tente de s’échapper de la mort avec son cancer de la prostate et de la peau, un médecin antillais lui a remonté les bretelles, lu rappelant sa mauvaise foi a sauté dans le premier avion pour la France, alors qu’avec son clan ils sont au pouvoir depuis une trentaine d’années. Une honte pour Mvouba qui a balbutié n’avoir que des compétences limitées.




Au Congo, la majorité des voyous qui sont au pouvoir sont des maladifs qui vont laisser la terre des ancêtres avant 2025. Mais toute fois, ils tentent de rallonger leur minable vie de voleur en sautant dans le premier avion pour l’Europe ou le Maroc se faire soigner, alors que le bas peuple est contraint de se rabattre sur les hôpitaux sous équipés du pays.




C’est le cas du président du parlement, Isidore Mvouba, en séjour médicale en France. Comme la plupart des autorités du Congo, l’incompétent de Kindamba souffre de plusieurs pathologies dont un cancer de la prostate et de la peau.

Il se rend souvent en France, où les hôpitaux disposent des équipements appropriés pour rallonger sa vie minable. Dans cet hôpital parisien où Mvouba suit son traitement, un médecin Guadeloupéen lui a dit ses quatre vérités.




L’antillais a demandé à Mvouba s’il était aussi fière de se faire soigner par lui en France alors que son peuple ne peut le faire ? Que pourquoi ne pouvait-il pas démissionner et se reposer au vu de ses pathologies qui limitent ses capacités et facultés intellectuelles ?




Humilié, Isidore Mvouba a eu juste le temps de faire comprendre à l’Antillais qu’il ne pèse rien su sein du pouvoir de Brazzaville. Un mensonge de plus de ce fils de Kindamba, qui est incapable d’équiper l’hôpital de son village et qui rêve de se faire enterrer à Edou.