Les autorités cubaines ont manifesté leur inquiétude sur le niveau intellectuel des étudiants congolais admis dans leur système éducatif. Contrairement aux équato-guinéens, santoméens ou angolais, les résultats scolaires des congolais sont bas. Les propres étudiants responsabilisent leur gouvernement qui ne leur verse plus de bourse d’études depuis des mois.
Oscar Vargas Lopez, responsable au ministère de l’éducation cubaine, a affirmé être inquiet du bas niveau intellectuel des étudiants originaires du Congo Brazzaville. Cette inquiétude a été transmise aux autorités consulaires dans une note le mois passé, sans qu’une réponse explicative n’éclaircisse cette situation.
Plus de 1000 étudiants congolais sont admis dans diverses universités de l’île, grâce à un accord de coopération entre les deux pays. Selon Oscar Vargas Lopez, les professeurs se plaignent du peu d’engouement montré par les congolais pendant les cours.
Du côté des étudiants, on admet les faits tout en responsabilisant le gouvernement qui ne leur verse plus la bourse d’études depuis plus d’une année. Le manque d’argent dans un pays comme Cuba ne favorise pas un climat de sérénité.
Ces étudiants sont censés prendre en charge la santé des congolais dans l’avenir, à travers les douze hôpitaux en construction dans les départements du pays. Il est claire que nous sommes en face des personnes mal formées qui causeront du tort demain aux patients.
Rien de nouveau, les angsters de la république bananière du Congo ne sont à leur première expérience, déjà en 1988 lorsque les Chinois organisent un test pour choisir 20 boursiers pour poursuivre les études en Chine , les 20 admis ont réellement du mal à bénéficier du fruits de leurs efforts, heureusement pour ces étudiants, cette fois ci les autorités Chinoises étaient restées inflexibles malgré maintes tentatives de changer les noms sur la liste, parceque les Chinois s’étaient bien rendus compte que les étudiants choisis par l’état Congolais n’avaient généralement pas de niveau, c’est pourquoi elles voulaient bien s’assurer du niveau en organisant et corrigeant elles mêmes le test, meme les examens médicaux, donc les tricheurs n’avaient aucune chance. » le yakanonisme » a tué le Congo.