Rosalie Matondo : «  je couche avec Sassou et suis intouchable pour autant de milliards que je vole »

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La quéquette « partout partout » du chef de l’État congolais est la cause de nombreux malheurs qui surviennent au Congo. Non seulement, cette quéquette a engendré Kiki, elle contribue aussi au clientélisme, à la promotion des personnes de moralité douteuse à l’instar de l’actuelle ministre de l’économie forestière, Rosalie Matondo, soupçonnée d’avoir détourné plus de 4 milliards de Cfa.

Papa Otsotso a tiré Emiliène Raoul et l’a pistonné au gouvernement, il tire Inès Ingani et elle est ministre de la république, ainsi va le Congo depuis 1997. Rosalie Matondo, actuelle ministre de l’économie forestière est venue agrandir la liste des makangu ministre de Sassou Nguesso.

Contrairement aux autres, Rosalie Matondo sait que le poste ministériel est éphémère et qu’il faille au maximum se remplir des poches et garantir l’avenir financier avant la mise au garage. Pour autant qu’il soit sucré, le sexe finit toujours par lasser l’homme, surtout quand il le vole juste.




Acculée pour des détournements de fonds colossaux, la ministre Rosalie Matondo défie ces accusateurs et soutient que ses parties intimes plaisent tellement au chef de l’État qu’elle serait intouchable dans cette république au même titre que mère Antou.

« Qu’ils aillent crier même au ciel que j’ai détourné 4 milliards de cfa, rien ne m’arrivera, qui ne vole pas dans ce pays ?… Tant que Denis aimera tant mon corps, on se regardera dans les yeux dans les rues de Brazzaville » lâcherait souvent la ministre à ses détracteurs.

Notre confrère  »Le Troubadour » avait en son temps, fait état des lourdes présomptions sur des détournements de fonds au ministère de l’Économie forestière, au point de s’attirer les foudres de la ministre Rosalie Safou-Matondo qui menaçait d’ester en justice contre le satirique. Les faits semblent donner raison à ce journal dont la fiabilité des investigations relèverait quasiment d’un travail de détective.




La ministre Rosalie Matondo serait-elle sur le gril, c’est à tout le moins ce qu’il paraît. Les agents de la DGST sont passés à l’action et déjà, des cadres et non des moindres du ministère de l’Économie forestière sont au ngouf.

Pierre Taty, directeur de cabinet de la ministre Rosalie Matondo, Mamadou Kanté et Émile Opita sont depuis mardi entendus et gardés à la DGST, avec de lourdes présomptions, quant à leur implication sur des détournements de deniers publics.

Sentant le roussi de ce feu de forêt qui se propage à grande vitesse, au risque de tout calciner, le conseiller juridique de la ministre Matondo, a pris la poudre d’escampette. Des rumeurs font état de ce qu’on l’aurait aperçu du coté de  »la Main-bleue », mardi au crépuscule. De là à ce que l’homme soit à quelques encablures de la rive droite du fleuve Congo, c’est par l’eau qu’il a choisi d’éteindre pour l’instant, l’incendie de forêt qui le menaçait.

Entre arrestation des uns et fuite des autres, le feu se propage tellement vite, qu’il lèche déjà les pieds de madame la ministre qui n’avait pu obtenir du premier ministre, de surseoir l’inspection sur la filière bois.




D’aucuns augurent que ce feux de forêt risque d’embraser également la continuité de l’État en se propageant à l’avant accession de Rosalie Matondo au département qu’elle occupe. Sans doute le cœur d’autre ministre ayant occupé le fauteuil doit-il déjà battre à tout rompre, au point de risquer un infarctus.

Au nombre des cadres arrêtés, outre la  »passation de services entre les ministres entrant et sortant » eux seraient des charnières qui auraient perpétué des pratiques mises en place au long des ans.

De quoi dire que ce dossier qui risque de brûler tant les descendants que les ascendants de la filière bois est bien une affaire à suivre, quand on sait que le bois représentait naguère la première ressource d’exportation, au budget de l’État.




Même si le pétrole a pris la place qui fut celle du bois, il y a des années que le trésor public recherche désespérément les recettes émanant de  »l’or vert » congolais qui lui parviennent en une portion infinitésimale qui contraste d’avec les cubages sorties des forêts congolaises chaque jour.