P/N : un Vili ferme sa petite usine, un parent de Sassou voulait devenir son associé na Nkô

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conveyor belt with biscuits in a food factory - machinery equipment




Dans la ville de Pointe-Noire, un jeune ressortissant du Kouilou n’a pas voulu qu’un parent du chef de l’État profite de sa créativité en décidant unilatéralement de mettre fin à ses activités entrepreneuriales. Ayant commandé en Chine une petite unité de transformation de biscuits et gâteaux qui marchaient, il a été approché par une personne se présentant comme un parent de Sassou et qui a exigé devenir son associé au risque d’avoir des problèmes. Le Vili a préféré fermer que de de voir un paresseux profiter de lui.




Malgré tout l’argent qu’ils volent au Congo, les gens de l’Alima sont en manque criard d’initiatives entrepreneuriales et sont aux aguets d’autres bons congolais qui investissent pour devenir de force leurs associés. Un refus entraîne de facto des ennuis de tout genre.




Beaucoup ont compris que ces personnes-là utilisent cette méthode pour blanchir leur argent sale. C’est dans cette logique qu’on les voit se lancer avec leurs milliards dans le petit commerce des transports publics, et oisiveté. Les meilleurs investissements d’un Mbochis de l’Alima se résument en la construction d’un hôtel, des maisons, entretien de plusieurs femmes, Caves et VIP. Tout ce qu’ils font outre que cela fait toujours faillite.




Et quand un autre congolais se lance dans un business avec son argent propre, dès que ça marche, apparaît un Mbochis pour devenir son associé de gré ou de force. C’est l’une des raisons qui freine le développement du Congo. Nombreux sont ces congolais qui refusent d’investir au pays au risque de voir un Sassou Nguesso venir les emmerder.

Mais, un jeune Vili ayant fait fortune en Europe y a crut un moment avant que la réalité Congolaise ne le rattrape. Dans sa ville natale de Pointe-Noire, il s’est lancé dans la biscuiterie et pâtisserie. Ayant vu l’engouement de son produit par les consommateurs, il a commandé en Chine, une petite unité pour booster sa production.




Comme averti en amont par ses proches, un Sassou Nguesso est apparu pour nuire à son rêve, en exigeant de devenir son partenaire. Face à son refus catégorique, des menaces se sont suivies. Mais, le Vili a été catégorique : « Je préfère fermer ma boite que de vous avoir comme associé ! »