La tension est montée d’un cran entre les voleurs de la république après les moqueries sur les réseaux sociaux sur l’installation des ventilateurs dans la salle d’attente de l’aéroport international de Maya Maya. En panne depuis plus d’une année, la climatisation n’est toujours par réparée à cause de l’incompétence de l’Aerco qui appartient au ministre Jean Jacques Bouya. Une occasion en or pour Claudia Sassou Nguesso d’insulter ce ministre des grands travaux et de lui manquer du respect en public.
C’est la honte au sein du clan Sassou depuis le relais sur les réseaux sociaux de l’image des ventilos à Maya Maya. Enfin, ils ont eu honte, eux qui sont habitués à vivre dans le m’en- foutisme tant que leurs comptes bancaires étaient garnis des billets de cfa.
Mais cette fois-ci, c’en était de trop et même le chef du clan Denis Sassou Nguesso aurait tapé du point sur la table. Une honte que surpasse même les défenseurs aveugles du pouvoir qui ne comprennent plus ce degré d’irresponsabilité.
Claudia Sassou Nguesso, malgré les préparatifs de son mariage avec son gigolo de Willy Etoka a remonté les bretelles à son cousin Jean Jacques Bouya, qu’elle a traité d’inutile de la famille avec ses réalisations bidon qui frisent la honte. Ceux qui ont assisté à cette scène raconte comment le tout puissant était comme une poule mouillée devant sa cousine.
En réalité, la société Aerco qui a la gestion des aéroports du Congo appartient à Jean Jacques Bouya qui a mis un blanc en avant. Et c’est à elle que revient le confort de l’aéroport de Maya Maya dont la climatisation ne fonctionne plus depuis plus d’un an. Une négligence que le pouvoir a su encaisser depuis avant que la photo des ventilos e fasse du bruit.
Si le pouvoir oublie que Maya Maya est la vitrine du Congo pour tout étranger qui arrive pour la première fois, c’est qu’on a affaire à des fous sales. On comprend mieux les immondices qui jonchent des semaines dans les grandes artères de Brazzaville et Pointe-Noire sans que cela n’émeuve les autorités. Ils sont tellement sales d’esprit que cela se répercute sur le quotidien des citoyens malheureusement.