Tués immédiatement par la police à Pointe-Noire, les bébés noirs sont pardonnés à Brazzaville

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Alors qu’elles sont sans pitié envers les bébés noires qui sévissent dans la capitale économique Pointe-Noire, les forces de l’ordre soudainement deviennent très complaisantes avec ceux de Brazzaville qui agissent essentiellement dans la zone nord de la capitale politique. Les bébés noires interpellés à Pointe-Noire sont tués sans autre forme de procès contrairement à ceux de Brazzaville qui se retrouvent dans la rue commettant encore des forfaits. Même dans la lutte contre la délinquance juvénile, la police fait preuve de tribalisme.

Entre le 22 et le 26 janvier 2024, plus de 12 bébés noirs pris main dans le sac aux quartiers Nkouikou et Loandjili, ont été froidement abattus par les policiers en association avec la brigade « Discipline Générale ». Ces bandits venaient de commettre des agressions avec les armes blanches sur les paisibles populations et la mobilisation citoyenne a permis leur interpellation par la police.

Parmi ces 12 bandits figuraient 5 fils de policiers qui ont tenté en vain d’épargner leurs enfants de la mort. Les hautes autorités sécuritaires de la ville de Pointe-Noire leurs ont plutôt reproché d’être incapables d’éduquer leur progéniture devenue des hors- la- loi.

Ces parents policiers ont juste oublié la douleur que leurs enfants bébés noirs causent aux paisibles populations dans la ville de Pointe-Noire. Cette main dure de la police ferait l’unanimité si à Brazzaville elle faisait autant. Hors, on remarque une grande complaisance envers les bébés noirs qui causent la désolation dans la zone nord de la capitale politique.

Des jeunes bandits interpellés se retrouvent après quelques jours en liberté et reprennent du service. Selon une source policière qui a requis l’anonymat, les policiers font face au dilemme de mettre fin à la vie de leurs enfants, neveux, cousins…Bref à leurs proches.

Par contre à Pointe-Noire, la majorité des décideurs au sein des forces de l’ordre sont des nordistes et tuer des bandits sudistes ne leur cause aucun remord. C’est pourquoi les bébés noirs se sentent intouchables et font perdurer ce banditisme urbain.