Pointe-Noire : 18 militaires dans le coma après leur vaccination

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L’obligation vaccinale au Congo commence à endeuiller nombreuses familles dont les membres croyaient se protéger du Covid en allant se faire vacciner. Déjà dans une note, le clinique Guenin s’est déchargée des complications causées par le vaccin exigeant aux personnes de signer une décharge les dédouanant. Dans la ville de Pointe-Noire, 18 militaires sont dans le coma après avoir pris leur première dose du vaccin Johnson& Johnson.

La panique se généralise dans la ville océane où on dénombre un nombre important des cas de décès liés au vaccin contre le Covid. La décision du gouvernement de vider toutes les doses de vaccin reçues en don crée des doutes au sein de la population sur leur efficacité après les décès de Clément Mouamba et hier de Djibril Bopaka, tous vaccinés.

On apprend que dans la capitale économique 18 militaires sont dans le coma à cause du vaccin qu’ils se sont fait inoculer pour répondre à l’appel des autorités. La hiérarchie militaire a tenté en vain de cacher la nouvelle sans doute sur l’ordre du gouvernement pour ne pas alarmer les populations.

Mais les familles de ces 18 militaires ont propagé la nouvelle bien que l’armée continue de nier les faits. Ces militaires se sont présentés dans un centre de vaccination habilité à cet effet pour se faire inoculer le vaccin Johnson&Johnson. Quelques minutes après, ils ont commencé à se sentir mal avant de se rendre pour les uns à l’hôpital militaire et dans un cabinet médical riverain pour les autres.

Selon les témoignages de leurs familles, ils ont été victimes pour la plupart d’une crise d’hypertension ayant conduite à un AVC. Dans les centres de vaccination, le personnel ne se préoccupe même pas de dresser le dossier clinique des candidats à la vaccination. Juste une prise de tension suffit avant de les vacciner.

Un chauffeur de taxi convalescent et présentant une forte fièvre a néanmoins été vacciné par une infirmière pourtant informée. Ce chauffeur est aussi dans un état grave à l’hôpital A Cissé de la ville. Le plus drôle est de voir les gens ne recevoir qu’une dose sans se faire rappeler de la deuxième par le personnel.