Paris: fatigué de sa femme impolie, il gagne 200.000 euros au loto et rentre au Congo en catimini

Porté disparu et recherché par sa femme en France, on le retrouve au Congo avec les 200000 euros gagnés au Loto dans une nouvelle vie à Pointe-Noire. Clément Mombo, un congolais ayant vécu 30 ans dans l’Île de France a réalisé enfin son rêve de s’installer dans sa ville natale de Pointe-Noire grâce au jeu de hasard. Marié à une femme impolie avec laquelle il a eu néanmoins quatre enfants, il ne supportait plus la vie en Europe et passait tout son temps dans les bar entrain de parier au loto. Il s’est acheté des terrains à Ngoyo et dans le Niari pour se lancer dans l’agropastorale et l’immobilier.

Clément Mombo vient de gagner sa vie enfin à 55 ans et a choisi sa ville natale Pointe-Noire pour profiter. Ses proches se rappellent qu’il a toujours émis le vœu de rentrer un jour au pays et de ne pas vieillir en France. « Dieu a exhaussé son vœu et surtout l’a éloigné de son épouse, une impolie innée qui lui manquait du respect devant ses amis et dans les fêtes.

Ayant évolué dans la sécurité, et la préparation de commande en France, Clément Mombo avait décidé de se reposer durant trois années en misant sa chance dans les jeux de hasard. Une décision qui a creusé davantage le fossé avec son épouse qui a réussi à dresser les enfants contre lui.

Une semaine après avoir remarqué son absence à la maison, son épouse a commencé à s’inquiéter malgré que tous les proches de Clément Mombo ne la croyait pas au regard du traitement infligé. «Depuis quand tu te préoccupes de ton époux que tu humilies à la moindre occasion?» était la réponse qu’elle recevait.

C’est la police qui va l’apprendre que son époux n’était pas porté disparu, mais a pris un vol d’Air France à destination de Pointe-Noire au Congo. Clément Mombo qui s’est reconnecté sur ses réseaux sociaux a finalement communiqué à ses enfants sa nouvelle vie à Pointe-Noire en leur demandant de le laisser enfin tranquille. «  Vous m’aviez humilié comme votre père géniteur, je me suis enfin éloigné de vous pour ne plus déranger et oubliez-moi ! »