On dit souvent l’ennemi du Noir est le Noir ! Il s’avère à ce jour que l’ennemi du Vili est le Vili et celle de Pointe-Noire n’est entre autre que l’une de ses filles en la personne de Antoinette Djembo ( Sassou Nguesso ). C’est elle qui aurait concédé à une société chinoise l’exclusivité de pêche au large de Pointe-Noire et Kouilou. Ces Chinois ont depuis privé les Ponténégrins de leur poisson préféré qu’est le MAKOUALA, désormais exportés en exclusivité vers la Chine. Mère Antou et son Empereur ont pendant la campagne présidentielle insisté sur leur amour pour le Kouilou et Pointe-Noire. Drôle d’amour quand on met fin brusquement pour de l’argent à une coutume datant de toute la vie.
Nombreux sont ces ressortissants de la ville côtière qui vous diront avoir grandi avec les Makouala, un poisson très prisé par les habitants qui a disparu totalement des marchés. Les Béninois qui les pêchaient ont été interdits de continuer à le faire au profit des Chinois qui en disposent désormais le monopole de la pêche au Kouilou.
Ces Chinois qui ont privé les Ponténégrins de leur poisson préféré sont sous le parapluie de madame Antoinette Sassou Nguesso, une ressortissante de Pointe-Noire, guidée de sa méchanceté et sorcellerie a décidé de punir ses frères et sœurs pour leurs avoir tourné le dos.
La société chinoise qui pille désormais le poisson au large du Kouilou appartient à 70% à Antoinette Sassou Nguesso et tout le poisson pêché est exporté dans sa totalité vers la Chine.Le dernier rapport de cette société rapporte un chiffre d’affaires annuels de plus de 3 milliards de Cfa en exportation du poisson.
Ceux qui prônent chaque jour l’amour du Congo et évoquent en public les capacités du Kouilou, sont les mêmes qui s’adonnent au pillage de ses ressources naturelles. Comment Mère Antou qui a grandi avec les Makouala et qui en connaît l’importance dans la vie des Ponténégrins a-t-elle pu avoir ce cœur et courage de les en priver ?
Toute l’écurie des pêcheurs Béninois, acheteurs et vendeurs Congolais ont perdu leur source de revenus financiers et sont obligés de recycler vers d’autres commerces ou metiers. Tout cela par la volonté et cupidité de Mère Antou.