Le fief ethnique de Denis Sassou Nguesso abritera du 5 au 8 février prochain, les rencontres diaboliques maçonniques d’Afrique.
Une obédience qui est à l’origine de tous les maux de l’Afrique francophone sera célébrée en grande pompe à Oyo dans la Cuvette, un département qui est à l’origine de la faillite du Congo. Victime du complexe d’infériorité et m’as-tu vu alors que son pays traverse une crise économique aiguë et que son peuple survit au quotidien, Denis Sassou Nguesso a fait débloquer du Trésor Public la somme de 5 milliards Cfa pour l’organisation de cette rencontre des ennemis du progrès africain.
Il est établi dans la charte maçonnique que les membres se doivent fidélité et soumission. Cette soumission des membres africains à la maison mère occidentale qui dicte ses lois contraires à l’émancipation et à l’éveil des consciences. Les trois pays de l’AES ont franchi le Rubicon en s’opposant au diktat spirituel occidental et on voit tous comment leur peuple en est fière.
Les dégâts que causent la Franc-maçonnerie au Congo sont visibles et l’État en pâtit. Ce sont les dirigeants qui devraient se rebeller contre la spiritualité venue d’ailleurs et imposée parfois par la force, mais malheureusement ils sont orgueilleux d’en être les portes étendards.
Ce rassemblement maçonnique annuel, qui attire des francs-maçons d’Afrique, de Madagascar, et d’Europe, est un événement majeur pour la communauté maçonnique africaine. La ville d’Oyo, notable pour être le berceau du président congolais Denis Sassou Nguesso, servira de cadre pour ces rencontres, mettant en lumière les relations complexes entre la franc-maçonnerie et le pouvoir politique en Afrique.
Et pour que les frères maçons passent des moments agréables à Oyo, 25 filles ont été recrutées à Brazzaville comme à Kinshasa à raison de 5 millions cfa chacune pour servir d’esclaves sexuelles.
C’est à bord d’un avion affrété par la présidence que ces filles objets sexuels ont décollé de l’aéroport de Brazzaville le 2 février à 10h à destination d’Oyo via Ollombo.
Bien avant, elles ont été regroupées et logées à l’hôtel Pefaco Maya-Maya du 30 janvier au 2 février 2025 où elles ont reçu des consignes spécifiques sur le déroulement de leur séjour et surtout de leur mission à Oyo.
