Les ministères Public et la commission parlementaire qui enquêtent sur l’affaire de corruption dans laquelle pèserait de lourds soupçons impliquant le géant pétrolier italien ENI au Congo demandent de stopper durant deux ans les activités de la multinationale dans ce pays africain.
L’information a été révélée par le célèbre Journal Corriere della Sera. La demande des parlementaires italiens adressée au juge qui mène les enquêtes préliminaires ′′ est destinée à éclaircir l’opacité organisationnelle d’Eni qui n’a pas pu empêcher en 2015 que son chef de zone, Roberto Casula, opère une vaste corruption internationale “. Sur l’affaire Congo / Eni, la commission d’enquête parlementaire avait déjà présenté un exposé au procureur de Milan en 2016.