En pleine pandémie Sassou achète un hélicoptère de guerre à 12 millions d’euros ( 7.800 milliards)

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L’appareil arrivé il y a quelques jours au port de Pointe-Noire est un Eurocopter EC665 Tigre, hélicoptère d’attaque franco-allemande développé et construit par Airbus Hélicopters. L’armée congolaise, il faut le rappeler n’est jamais allé en guerre contre une autre armée si ce n’est contre son propre peuple désarmé. A quoi servent dont toutes ses dépenses militaires dans un pays exsangue  et en pleine pandémie de Covid-19.




« Parfois je me demande si réellement certains responsables de ce pays ont un cerveau » a réagi un général des forces armées congolaises après avoir appris la nouvelle de l’achat d’un hélicoptère de combat par la présidence de la république. Sa thèse s’appuie autour des négociations entre le Congo et le FMI.




Un pays qui joue les mendiants ne peut se taper le luxe de s’offrir du matériel sont l’utilité n’est pas urgente. Tout de suite vos créanciers vous prendront pour de simples aventuriers et distraits. En pleine pandémie de Covid-19, le gouvernement du Congo a fait recours à la bonne volonté obligatoire de tout ceux qui se font des sous sur son sol. Des appels aux Dons ont été lancés et on assisté à une exposition médiatisée des chèques à la primature.

Ce même pays qui se fait passer pour un pauvre s’est offert il y a quelques jours un hélicoptère de combat bien qu’en occasion d’une valeur de 12 millions d’euros, soit près de 8 milliards de cfa.





 

La courses à l’armement a fait du Congo, le deuxième pays en Afrique qui consacre un budget assez élevé à l’achat des armes qui ne servent à rien, sinon à traumatiser sa population. L’armée congolaise n’a jamais eu le courage de répondre aux multiples violations de ses frontières par les militaires angolaises. Ce pays a depuis perdu le respect au Congo et agi selon ses humeurs.




Cette même armée congolaise, est d’une rapidité et efficacité extraordinaire dans la traque des populations civiles désarmées qui réclament un peu de liberté. Par cet achat, le Congo passe un message fort aux bailleurs de fonds sur sa situation financière.