Une infirmière tue un patient diabétique au CHU-B et la morgue confisque le cadavre

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La dépouille mortelle d’ Ange Kalimba a été pris en otage par la morgue de Brazzaville dont les autorités du CHU protège l’infirmière responsable de sa mort. Cette infirmière lui aurait transfusé du Glucose bien consciente que le patient était diabétique. La protestation de la famille du défunt serait à l’origine de cette attitude de la morgue.




L’un des fils du défunt dénonce avec la dernière énergie ce comportement mafieux et inhumain du CHU-B. Il exige parallèlement la restitution de la dépouille de son père, le nommé Ange Kalimba, professeur d’anglais à l’université Marien Ngouabi.

Admis au Centre Hospitalier de Brazzaville, dans la salle 4 triage, pour les soins, après une crise de diabète, manque de peau, l’infirmière qui s’occupait de lui, pourtant bien informé de son état de santé(diabétique), curieusement lui aurait administré du glucose, par transfusion.




Quelque minutes seulement après, que la perfusion soit montée, mon père à commencer convulser et à s’étouffer, nous avons couru signaler le médecin responsable du service, qui était malheureusement absent à son poste.
Le temps de rattraper infirmière qui juste après avoir monté la perfusion avait disparu, elle aussi n’était plus dans le rayon du service, probablement consciente quelle venait de commettre un meurtre.” décrit le fils du disparu très remonté avant de poursuivre

Mon père va donc décéder, le dimanche 05 janvier 2020, c’est aussi le Papa de l’artiste sapeur mal alaise (Philly Kalimba), pour ceux qui le connaissent. Cela nous avait mis dans nos états, sachant que c’était une mort provoquée par l’infirmière.Nous avons commencé à hausser le ton dans la salle de l’hôpital et à s’agiter pour alerter le monde qui nous entourait.




La police est arrivée sur place, probablement informée par les services du CHU-B, et nous a chassé des lieux.
Chose curieuse, c’est que depuis que mon père a été tué par une infirmière, les services du CHU de Brazzaville ne veulent pas non plus nous délivrer l’acte de décès et les autres documents nécessaires pour le retrait de la dépouille et organiser son enterrement.
Le deuil se tient à Mfilou, au n° 8 de la rue Mabiala manganga, quartier Mbouala non loin de la boulangerie Bouké Bouké




Le CHU-B nous exige plutôt réparation, pour indiscipline en milieu hospitalier, alors que ce sont les agents de santé qui ont commis l’irréparable, en administrant du Glucose à mon père sachant qu’il était diabétique.

Le CHU, nous a donc fait savoir, tant que nous ne réparerons pas le préjudice causé, nous n’aurons pas accès non-plus à la dépouille de notre père.”