L’actuel commandant en second de la police congolaise, le général Jean Pierre Okiba a profité alors qu’il était encore patron de la police à Pointe-Noire de monter un juteux business qui lui rapporte encore à ce jour 400 millions cfa par mois. Pour ce faire, il s’est associé à son parent, le général Elie Atipo Etou actuel administrateur général adjoint de la CID. Les deux officiers de police se sont alignés dans la logique du pouvoir actuel qui consiste à s’enrichir sur le dos de l’État. Ils ont crée une société de gardiennage qui leur permet de rafler tous les marchés profitant de leur statut.
Les générations futures pourront-elles citer une seule autorité nordiste n’ayant pas les mains tachées des détournements des deniers publics ? Les généraux Jean Pierre Okiba et Elie Atipo Etou, respectivement commandant en second de la police et administrateur général adjoint de la CID ne sont que deux voleurs qui se sucrent au détriment de l’État.
Ces deux généraux qui ont crée une société de gardiennage à Pointe-Noire utilisent leur statut pour rafler tous les marchés. Au lieu d’embaucher des civils, ils envoient des policiers aller garder faire la sécurité à raison de juste 2000 frs de ration/ jour.
Ces policiers se contentent juste de leur salaire de fonctionnaire public alors qu’en réalité ils devraient par leurs employeurs que sont les deux généraux indécents.
Plus de 100 policiers sont utilisés pour veiller à la sécurité des sites et au service des deux généraux qui peuvent économiser les cotisations sociales et d’autres avantages dont bénéficient des employés. Les 400 millions cfa que génèrent ce juteux business sont exemptés de toute taxe. Deux généraux peuvent-ils payer les impôts dans ce pays de Sassou?
Grace aux revenus que génère leur société de gardiennage, les deux généraux sont propriétaires de plusieurs biens immobiliers à Pointe-Noire, Brazzaville et dans le nord du pays. Ils gèrent aussi plusieurs «bureaux» ainsi que des bus et taxis.
Une dizaine de policiers qui sont utilisés par ces deux généraux se plaignent d’avoir été se faire balader après demandé une aide financière pour les études de leurs enfants ou d’autres cas sociaux.
