Il fut un temps en Afrique où les gens prêtaient attention à Jeuneafrique, un média appartenant à un Arabe de la Tunisie, un pays anti Noir. Mais, de nous jours, aucun africain n’accorde de crédit à ce média en dehors des dictateurs et leurs proches. Et c’est vers eux que les journalistes de Jeuneafrique font leurs bonnes affaires qui consistent uniquement à les racketter biais le chantage. Il se murmure dans tous les palais des dictateurs africains qu’un journaliste blanc est celui qui est chargé de récolter de l’argent sale qui maintient en UCI ce média. Le même journaliste blanc se ferait cocufier par le président du Congo, Denis Sassou Nguesso.
Quand on cite les médias Mainstream qui luttent pour la poursuite de l’exploitation de l’Afrique par la France et l’Occident, Jeuneafrique occupe une bonne place. Un média qui se dit africain, mais qui combat l’éveil de sa jeunesse en ternissant l’image des héros et en tarissant d’éloges des dictateurs tels que Ouattara, Sassou, Macky Sall etc.
Le fils du Tunisien Bechir Ben qui a hérité de l’investissement de son père pense que les Africains au sud du Sahara ignorent que son pays voue une haine viscérale contre les Noirs. Sa ligne éditoriale contre l’éveil de la jeunesse africaine est dans cette logique raciste des Tunisiens.
Que peut-on espérer d’un média qui diabolise Ousmane Sonko et encense Macky Sall qui a marché sur les cadavres des Sénégalais ?
Au Congo, où ce média a pu emmener Denis Sassou Nguesso en bateau, les largesses financières ne sont plus significatives. Ce sont des miettes qui sont désormais données au porteur des mallettes de Jeuneafrique qui est de nationalité française et dont l’épouse est l’une des nombreuses maîtresses du chef de l’État congolais.
Même un con ne peut jamais se laisser tromper éternellement dans la vie ! La présidence du Congo Brazzaville a compris depuis que Jeuneafrique n’est que de l’arnaque tintée du racisme. Ce média a été chassé du monde arabe, les propres frères de son propriétaire, mais veut moraliser la jeunesse africaine.