C’est dans la logique d’inverser le rapport de force que la démographie à attribuer à la partie sud du Congo. Bercés dans le tribalisme, les membres du clan Mbochis pensent qu’il faut une domination nordiste à tous les niveaux pour sécuriser le Nord. Le sudiste est perçu comme un ennemi et non comme un compatriote et comme ça les mêmes tribalistes s’opposent à une partition du pays afin d’en finir avec cette méfiance honteuse.
Les forces de défense du Congo recrutent et des annonces officielles ont été faites par des canaux appropriés. Mais dans les coulisses, une note top secret signé par le clan Mbochis rappelle aux autorités militaires et policières qu’un quota de 70 % obligatoire est réservé aux ressortissants du nord.
Les mêmes qui été incapables pendant 32 ans de règne de rattraper le grand retard économique du nord face au sud ne se gênent pas de prendre les nordistes en otage. S’ils étaient juste un peu intelligent, les membres du clan Mbochis auraient industrialisé leur nord.
Après l’épisode des étudiants médecins de Cuba où 90 % étaient issus du nord, voici un autre dans les forces de défense. Cette obsession à dominer les sudistes contrastent avec leur incompétence et incapacité d’apporter le bien-être dans leur propre nord où les populations vivent encore à l’époque ancestrale.
Les sudistes qui aspirent à intégrer les forces de défense doivent savoir en déposant leurs dossiers que seul 30 % du quota a été mis à leur disposition par les tribalistes qui ont pris le pays en otage.