Urgent : du matériel de guerre déplacé de Tchambitsho vers Maloukou et Lifoula en prévision d’un coup d’Etat.

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Dans la psychose d’un renversement de son régime, Denis Sassou Nguesso a instruit à sa milice camouflée au sein de la sécurité présidentielle de déplacer le plus important du matériel de guerre stocké à Tchambitsho vers la banlieue de Brazzaville. Ces armes pourraient être utilisées à se défendre d’une hypothétique déstabilisation du régime. Dans la foulée, 5000 militaires ont quitté Oyo pour Brazzaville dont plusieurs Rwandais, Ougandais et Tchadiens.

La psychose d’un putsch s’est emparée du clan Sassou au point où il a été conseillé au président de la République de ne pas se rendre à New-York moins encore à Paris en septembre dernier. Lui qui adore tant le matalana et les avions s’est terré à Oyo. La session de l’assemblée générale de l’ONU et le sommet de la francophonie n’ont pas profité de la présence de Denis Sassou Nguesso.

On apprend que le clan Sassou a décidé de transférer à Brazzaville d’importantes quantités d’armes gardées à Tchambitso dans l’éventualité d’un affrontement avec les potentiels putschistes qui menacent leur régime.

« Les ennemis sont dans la maison et ce transfert d’armes a déjà fuité au point où chacun prend ses gardes » a déclaré un officier de la sécurité présidentielle qui n’est plus en sainteté avec Sassou Nguesso.

N’ayant plus trop confiance à ses propres parents nordistes qu’il soupçonne de le renverser comme ils l’ont fait avec Marien Ngouabi, Denis Sassou Nguesso a dépêché à Brazzaville des mercenaires Rwandais, Ougandais et Tchadiens pour coordonner la riposte en cas de coup d’État.