Les deux « dobeurs » se connaissaient-ils bien avant ou c’était un coup de foudre ? En provenance de Lyon, une Congolaise, la trentaine révolue et venue expressément à Paris retirer son passeport à l’ambassade du Congo a fini dans le canapé installé dans le bureau d’un conseiller. C’est une secrétaire qui les a surpris en pleins ébats sexuels avant de faire le songui songui. L’ambassade du Congo à Paris se transforme parfois en hôtel de passe pour ses agents dont la libido débordante est connue de tous.
En quittant Lyon pour Paris, une Congolaise était loin de s’imaginer qu’un conseiller de l’ambassade du Congo allait faire tomber son dos par terre. Mais que dire sur certaines femmes de la diaspora congolaises aux cuisses légères ? La Lyonnaise a été surprises entrain de faire l’amour dans le bureau d’un conseiller.
Le printemps 2024 avec ses bouleversements de température a certainement inspiré ce conseiller en poste à l’ambassade du Congo à Paris. Selon le témoignage de l’agent les ayant surpris en pleins ébats sexuels, il serait tombé amoureux d’une citoyenne venue retirer son passeport et ayant des formes époustouflantes.
C’est après avoir fait un tour à l’accueil que ce conseiller a été attiré par cette Congolaise en provenance. Après quelques échanges de parole, ce dernier lui a rassuré de faciliter le retrait de son passeport tout l’invitant de monter dans son bureau attendre le sésame.
C’est au cours de cette attente que tout s’est passé. Le conseiller a expérimenté son « litoyi » qui a bien fonctionné sur la Congolaise. Tellement pressé de sauter sur la femme qu’il a oublié de fermer à clé son bureau. Les deux ont été surpris par une secrétaire venue faire signer un document et cette dernière ne s’est pas retenue de faire le songui songui malgré les supplices du conseiller.
La dépravation des mœurs et le chantage sexuel sont des maux qui minent l’administration congolaise le plus souvent bourrée des pervers sexuels. Mais en France, le retrait d’un passeport n’est pas soumis aux tracasseries que subissent les citoyens au Congo et l’on peut conclure que cet acte sexuel a eu lieu avec le consentement des deux.