L’ONG « Sounga » de Danielle Sassou est un refuge d’escrocs camerounais et gabonais aux frais du Congo

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Se prévaloir d’avoir un bon cœur avec de l’argent volé est devenu le business des certaines personnes du pouvoir dans la création des ONG. La fondation Sounga que dirige l’épouse gabonaise de Kiki Sassou Nguesso est devenue le refuge des escrocs camerounais et gabonais alors que tant de congolais sont au chômage. Une ONG installée au Congo dont la majorité des employés sont étrangers et financée par l’État Congolais.

Au Congo, tout les voleurs des deniers publics ont pris l’habitude de créer des Ong pour se faire bonne conscience. Des ONG qui sont au rouge dès qu’ils ne sont plus au pouvoir. L’argent volé est Congolais leur est reversé en forme de don par des voleurs qui se disent philanthropes.

Danielle Sassou Nguesso, l’épouse gabonaise de Kiki Sassou Nguesso dont la rivale Kinoise Nathalie Bumba vient aussi de créer son ONG, a vite compris comment se faire des sous au Congo.

Elle a crée sa fondation dénommée Sounga et a convaincu son époux Kiki de l’inclure dans le budget de l’État. Le Congo délègue selon les textes la réalisations de certains projets socio-économiques aux acteurs civiles que sont les ONG.




Une indiscrétion affirme que la fondation Sounga reçoit de l’État congolais plus de 500 millions pour la réalisation de ses activités. Des activités à compte goutte qui n’épuisent même 5 % du budget.

« L’analyse des relations de genre en Afrique rend généralement compte d’une infériorité de la femme vis-à-vis de l’homme. Ce rapport asymétrique se traduit principalement par un accès différentiel et inégal aux ressources d’autorité comme des positions de pouvoir et des biens économiques rares”. C’est avec ce discours que la gabonaise se sucre sur le Congo.




Vu que le Congo est une nation Zoba selon les étrangers,Danielle Sassou Nguesso n’a fait qu’embaucher ses parents gabonais et camerounais comme employés de sa fondation. L’un d’eux qui est camerounais et chargé de communication vient de terminer son deuxième chantier à Douala évalué à 60 millions de Cfa.

Le Congo, un pays où les voleurs sont devenus vantards et philanthropes