Le pasteur Yves Castanou, un menteur qui a nié le cambriolage à son domicile de 900 millions par des braqueurs aujourd’hui confirmé par les auditions de Patou Kasys et Akouba, deux éléments du commissaire Morgan. Pour sauver sa face auprès de ses fidèles, dans l’hypocrisie qui caractérise les supposés autoproclamés hommes de Dieu du Congo, Yves Castanou avait même traité de colporteurs de ragots, les médias ayant relayé à l’époque cette information. Ce cambriolage avait bel et bien eu lieu et cet argent récupéré par la police a été partagé entre l’équipe de Morgan comme l’affirment les deux pré vénus au cours de leurs auditions.
Sur les réseaux sociaux, les fidèles de la secte ICC, même les supposés intellectuels ont toujours défendu aveuglement leur gourou Yves Castanou, déployant toute leur énergie avec un français académique. Mais comme l’on dit souvent le temps au temps, les faits viennent une fois de plus de donner raison à cette puissance de l’information que sont devenus les médias en ligne indépendants.
Quand ils ont fait état du cambriolage dont a été victime le pasteur Yves Castanou par son domestique d’une somme de 900 millions Cfa, cette armée fidèle au pasteur a traité tout le monde de « fake newseurs ». Aujourd’hui, avec les auditions fuitées de deux braqueurs du groupe Morgan, on a apprend que ce butin de 900 millions Cfa dérobé chez Castanou a été partagé entre les policiers ayant mis la main sur le voleur.
Le pasteur Yves Castanou qui a catégoriquement nié les faits révèle juste au grand public ce que nombreux qui le connaissent bien pensent de lui. Que ce n’est qu’un charlatan qui a choisi le nom de Dieu comme fond de commerce. Il planquait bel et bien 900 millions dans son domicile qui ont été subtilisés par son domestique qui aurait pris la fuite vers le Cabinda d’Angola.
L’enquête de ce cambriolage a été confiée au GRB dirigé par le capitaine Morgane dont les éléments ont mis la main sur le voleur. Au lieu de restituer les 900 millions Cfa au pasteur Yves Castanou, les policiers se sont partagés le butin entre eux. Et on cite aussi le général Jean François Ndenguet qui aurait eu sa part.
Lors des auditions du bandit Akouba, l’enquêteur l’a empêché d’aller trop dans les détails de cette affaire Castanou quand il l’a abordée. Ceci vient confirmer d’une manière ou d’une autre les plaintes des agents de Congo Télécom qui traitent de voyou leur directeur général Yves Castanou.
Un serviteur de Dieu se doit de marcher dans la vérité et la sincérité et non dans le mensonge et l’hypocrisie comme le fait Yves Castanou. Que lui coûtait-il de reconnaître avoir été victime d’un cambriolage de son domestique ? Cet argent était-il mal acquis ? Les pasteurs Congolais qui se retrouvent avec des sommes d’argent colossales à leurs domiciles alors qu’ils sont censés montrer l’exemple.
En juin 2021,Yves Castanou, Dg de Congo Télécom a été victime d’un vol à son domicile, son domestique lui a soutiré la somme de 900 millions de cfa et aurait pris la fuite vers le Cabinda d’Angola.
Le Domestique de Yves Castanou le dg de Congo Télécom venait de dérober 900 millions Cfa, et serait en fuite actuellement vers l’Angola. Les faits se sont produits un week end à son domicile où son assistant ( domestique ) a pris le temps de mieux étudier les petites cachettes de la famille. Pourtant aussi membre de son église ICC, le domestique a préféré mettre son pasteur face à Dieu et s’éclipser avec les millions. On ne sait pas s’il s’agit de l’argent des dîmes et quête ou sa fortune personnelle de son boulot.
Yves Castanou a été nommé Dg de Congo Télécom après son brillant parcours à l’ARPCE pour tenter de sauver cette société de la mauvaise gestion innée de Akouala. En un laps de temps, il a changé radicalement la marche de Congo Télécom au point de susciter des jaloux dans le pouvoir.
Ce vol d’une somme aussi importante fera couler beaucoup de salive quand on sait que Castanou est un pasteur, donc une personne qui devrait respecter les percepts bibliques et faire confiance aux banques du pays. Le voleur chanceux et nouveau riche serait du côté du Cabinda avant d’atteindre Luanda.