Une mère congolaise est convaincue de l’influence de l’éducation à l’école sur le comportement de son fils de 6 ans qui développe des envies sexuelles envers elle. Plusieurs sont les fois que cet enfant de 6 ans monte sur sa maison bougeant ses reins tentant parfois d’introduire son doigt dans le vagin de sa maman. Femme seule, la mère s’est confiée à une amie expliquant manquer de courage de faire raisonner son fils.
La réalité de la France cause parfois des dégâts dans certaines familles africaines dont les mœurs sont à l’opposé des français. Bien qu’il y a des congolais qui se croient blancs une fois en Europe et éduquant leurs enfants à l’occidental, d’autres sont fières de leurs origines congolaises et n’entendent pas se renier aussi facilement.
A Rouen, une mère congolaise vit des moments difficiles depuis des semaines à cause des velléités sexuelles de son fils de 6 ans envers elle. Vivant seule avec ses deux enfants dont une fille de 10ans, elle a pris l’habitude de dormir avec son fils et aussi de se laver avec lui.
Peu à peu, elle a commencé à remarquer des attouchements sur elle de son fils sans vraiment y prêter trop attention. Son fils insistait désormais à l’embrasser à la bouche en y introduisant sa langue.
Mais, c’est dans la nuit que cette maman a constaté comment son fils de 6ans passait sa main dans son pyjama, caressant des seins, son ventre et le pubis avant de vouloir introduire son doigt dans son vagin. Il lui arrive aussi de monter sur elle et faire des mouvements vas et viens.
Au téléphone, l’amie à laquelle cette congolaise s’est confiée l’a conseillé de se plaindre auprès de son école et de ne plus dormir dans le même lit que son fils. Cet enfant serait sans doute influencé par ce qu’il apprend à l’école ou aurait accès à des contenus pornographiques.
Elle confie qu’une fois étant dans la cuisine entrain de préparer, elle a été sidéré de voir comment son fils l’a pris par derrière alors qu’elle s’était courbée prendre une marmite. Son fils de 6ans a cru profiter de cet instant pour une bonne levrette. « Il n’y a pas à aller voir un pasteur pour ça, il faut juste avoir un dialogue avec ton fils » a aussi suggéré son amie.