Les retraités de la CNSS subissent depuis quelques années un traitement inhumain de la part de la direction de cette entité ayant la charge du paiement régulier de leurs pensions. Le DG de cette caisse se cache derrière le retard des cotisations de certaines entreprises pour justifier la maltraitance aux retraités. Un faux-fuyant avec la découverte d’un compte bancaire dans un paradis fiscal à son nom qui est crédité de 8 milliards cfa. Evariste Ondongo n’est entre autre qu’un voleur à la tête de la CNSS.
A entendre ses déclarations sur les médias, on peut naïvement croire être en face d’un agneau, incapable de faire du mal, moins encore de toucher un seul franc de la CNSS. Rien de tout cela, on est en face d’un voleur en série ayant le seul but comme tout bon membre du clan Sassou de piller les caisses et de s’enrichir.
Qui peut croire à un homme dont la fille est mariée au principal arnaqueur de la CNSS, le jeune lieutenant Eyoka aujourd’hui réfugié en France avec les milliards volés des retraités ?Cette mafia trouve ses racines dans le foyer de la fille du DG Evariste Ondongo et des ramifications dans la police et la famille Sassou Nguesso via Gildas Ambendet. Des milliards se sont retrouvés dans les poches des individus avec le consentement du DG Evariste Ondongo.
Ce compte off-shore découvert à Dubai et appartenant au DG de la CNSS, Evariste Ondongo serait juste l’un parmi d’autres dissipés à Hong Kong et les Caribes. Il torture les retraités de la CNSS alors que lui-même s’est offert une retraite de rêve. Evariste Ondongo est le frère aîné d’un autre voleur Gilbert Ondongo qui doit son ascension qu’à la mort par assassinat de sa mère à Owando par les partisans du RDD peu avant le coup d’État du 5 juin 1997 de Denis Sassou Nguesso.
Jusqu’à ce jour, la vie des retraités de la CNSS s’est transformée en enfer et nombreux d’entre eux meurent à cause de la cupidité de Evariste Ondongo. Des personnes qui ont pourtant dignement servi la république et assuré leur retraite par les cotisations à la CNSS se retrouvent soudainement dans la précarité. Entre temps, la fille et beau-fils du DG de la CNSS vivent dans l’opulence absolue avec l’argent de leurs pensions.