C’est le constat fait par les habitants de la ville de Pointe-Noire ainsi que les autochtones sur l’état critique des routes. Avec un premier ministre du coin, et le pétrole qui coule à flot, Pointe-Noire ressemble à un gros village. Pourtant on dit souvent que nul ne peut aimer un village plus que les autochtones. Il s’avère que que les ressortissants du Grand Niari, Pool et nordistes se soucient de cette ville plus que les Vili et Yombé.