Coupure internet : Emmanuel Macron copie enfin l’invention du dictateur africain Sassou Nguesso

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C’est en mars 2016 que le dictateur congolais Denis Sassou Nguesso a crée cette invention de couper l’internet à la veille de la présidentielle. L’opposition menée par le Général Mokoko avait décidé d’envoyer à leur centre de compilation les résultats de tous les bureaux de vote afin de parer à toute tricherie du pouvoir. Conscient de perdre les élections et d’être démasqué, le dictateur congolais ordonna la coupure de l’internet pour tout silencier. Aujourd’hui, suis aux émeutes en France, Emmanuel Macron n’exclut pas de suivre son homologue congolais dans cette bêtise en France.

Les émeutes en France ont été diffusées en direct sur les réseaux sociaux par les propres révoltés, la presse et les curieux. Du butin pillé a été publié sur la toile, mais aussi et surtout les points de rassemblement et plans d’attaque.

Emmanuel Macron qui jubilait quelques jours avant de l’aventure du patron du groupe Wagner dont Vladmir Poutine a réglé en 24 h, s’est vu dépassé par les événements suite à l’assassinat du mineur Nael par un gendarme. Des scènes de pillage et d’affrontements entre jeunes français et les forces de l’ordre ont mis en avant la fragilité de la société de ce pays qui se croit être un géant du monde.

En Afrique, la majorité des jeunes se demandent comment la France a-t-elle réussi à dominer et piller leur continent. Mais, c’est la naïveté et le goût du pouvoir des anciens africains qui ont favorisé cette domination.

Pour une première fois, c’est la France qui copie une bêtise en provenance d’un dictateur africain, sachant qu’elle l’a condamnée en son temps.

Emmanuel Macron a rencontré une centaine de maires à l’Elysée et il a fait plusieurs annonces. Parmi ces annonces, il s’est concentré sur les réseaux sociaux, déjà la cible du gouvernement lors des émeutes. Le président envisage la possibilité de « couper » les réseaux sociaux quand « les choses s’emballent ».

« Nous avons besoin d’avoir une réflexion sur les réseaux sociaux, sur les interdictions qu’on doit mettre. Et, quand les choses s’emballent, il faut peut-être se mettre en situation de les réguler ou de les couper », a-t-il déclaré dans des propos relayés par BFM TV. Toutefois, pour calmer les possibles élans d’agacement, il a demandé que le débat se fasse « à froid ».