On le sait malade depuis des années, mais il était très difficile d’avoir une idée sur la détérioration de son état de santé vu que ses apparitions publiques très préparées le montrent bien portant. Le chef de l’État congolais qui souffre d’un cancer de la prostate, d’hypertension, de la sciatique et du diabète porterait désormais des couches à jeter afin de l’éviter l’humiliation des urines sur son pantalon.
Une source sécuritaire bien introduite au sein du palais présidentiel confie que Denis Sassou Nguesso serait arrivé au niveau de porter les couches à jeter après avoir perdu le contrôle de sa vessie. Il lui serait incapable de contrôler ses urines et cette mesure aurait été conseillée afin de lui éviter des désagréments en publique.
« Comment fait-il pour coucher ses maîtresses lui qui est un obsédé sexuel ?» s’interroge la même source qui le compare au cas du défunt président Ivoirien Félix Houphouet Boigny. A Oyo, le clan s’attend à une mauvaise nouvelle à tout moment et les tranchées se creusent dans le but de déstabiliser et de mettre à l’abri des adversaires internes.
Denis Sassou Nguesso est le chef de l’État du Congo qui a pour rêve principal de léguer le pouvoir à un membre de sa famille pour perpétrer le règne des Mbochis. Mais il se peut que la maladie défie toutes les stratégies mises en place par son clan.
Un membre de la sécurité présidentielle raconte avoir un après-midi à une situation pénible à Edou. Denis Sassou Nguesso aurait fait pipi dans son pantalon. « Heureusement, on était en famille ! Imaginez un peu s’il y avait des yeux songeurs ? »