Collinet Makosso à Pointe-Noire : « il est de plus en plus très difficile de défendre ce pouvoir »

Si en public le premier ministre Anatole Collinet Makosso ne cesse de vanter les efforts de son gouvernement et affirmer que tout va bien au Congo, en privé par contre il reconnaît avoir honte de dire des choses contraires à la réalité que vit le congolais. « Plus rien ne marche dans ce pays et il est de plus en plus très difficile de défendre ce pouvoir » a confié Collinet Makosso à ses proches. Le premier ministre reconnaît aussi avoir perdu de l’estime des siens qui doutent désormais de son bagage intellectuel à cause de ses mensonges volontaires. « Mais je le fais pour l’intérêt de ma famille et celui du Kouilou » a-t-il conclu.

Les sorties médiatiques du premier ministre congolais, Anatole Collinet Makosso laissent désirer et poussent beaucoup de ses proches à ne plus le reconnaître. « Anatole est devenu un menteur pathologique ! » « Vraiment la politique rend bête et change les gens ! », «  N’a-t-il pas honte de déverser des balivernes à longueur de journée ? ». Ce sont les inquiétudes de ses proches.

Sur le plateau d’un média français, Anatole Collinet Makosso affirmait que l’économie était en monde croissance alors que les congolais souffrent. A Pointe-Noire, sa ville natale il a osé mentir sur la réhabilitation des routes oubliant que tout le monde sa balade dans la ville à chaque heure.

Cet ex intellectuel à la tête du gouvernement a aussi affirmé que les congolais étaient incapables de gérer des nombreuses usines se trouvant dans la Bouenza et le Pool, d’où le recours aux Rwandais. Des mensonges qui sont des véritables insultes aux populations et surtout à l’intelligence.

« Je pouvais tout attendre de Collinet sauf les balivernes qu’il raconte sur notre beau pays qui se meurt ! » affirme un ancien proche du premier ministre.

Mais le premier ministre est la première personne à reconnaître en privé la difficulté de défendre leur pouvoir avec des arguments solides sans passer par le mensonge grossier. Le Vili a reconnu s’être senti gêné lors du lancement du Wifi dans les universités et y a été contraint par le président de la république.