Depuis le mois de mars, la ville de Pointe-Noire fait face à une vague de chaleur particulièrement intense. La population suffoque et se dit étouffée avec pour conséquences la fatigue, les maux de tête, la transpiration, la déshydratation, le manque de sommeil, etc.
La deuxième ville du Congo étouffe. Les quelque 1 158 331 habitants qu »elle compte font face depuis plusieurs jours à un épisode de chaleur d’une intensité remarquable. En effet, une vague de chaleur sans précédent s’abat sur la ville océane. Les habitants se disent épuisés par cette chaleur qui les empêche de vaquer normalement à leurs occupations quotidiennes. « On ne peut pas bien dormir la nuit, on ne peut pas bien travailler non plus la journée parce qu’il fait très chaud. On ne peut rien faire», a raconté un habitant de Pointe-Noire.
Les températures ont grimpé en flèche. Pour se désaltérer, la population trouve refuge à la plage, dans les terrasses et dans les espaces verts en plein air.
Pour de nombreuses personnes, l’année 2024 est sans nul doute la plus chaude jamais enregistrée dans cette partie du pays. Tout le monde en parle. Avec des températures record, l’organisme est mis à rude épreuve. Parmi les difficultés les plus visibles, le manque de sommeil, la fatigue ou encore la déshydratation.
Notons que ces vagues de chaleur ont des impacts significatifs sur la santé, en particulier chez les vulnérables comme les personnes âgées et les enfants. Elles affectent aussi l’environnement (sécheresse, incendie de forêts, etc.), l’agriculture, l’économie, la vie sociale et culturelle.