A Belém, au Brésil, où ils prennent part, les 7 et 8 août, au sommet de l’Amazonie, les présidents Denis Sassou N’Guesso (DSN) et Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo (FATSHI) partagent, comme le montre l’image, cette proximité naturelle que leurs deux pays, la République du Congo et la République démocratique du Congo, tiennent en estime.
La préservation des écosystèmes de la riche et vaste région du Bassin du Congo dans le cadre d’une stratégie mondiale de lutte contre la déforestation et le dérèglement climatique est bien le motif pour lequel les deux dirigeants ont rejoint leurs homologues chefs d’Etat en terre brésilienne.
Il n’empêche qu’entre Brazzaville et Kinshasa toutes les opportunités sont inestimables pour débattre des questions d’intérêt commun qu’elles soient d’ordre bilatéral, sous-régional, régional ou international.
Ceux et celles qui, sur les deux rives du fleuve Congo, pensent le contraire devraient retenir la leçon d’humilité telle que DSN et FATSHI en tissent la toile sous nos yeux. Et ne pas prendre leurs rêves pour la réalité.