Il est le père de la plus incompétente d’Ecair qui a conduit cette société à la faillite. Pierre Moussa est aussi parmi ces vieux inutiles qui détestent la retraite et s’accroche à la politique comme l’unique voie de leur salut. Il a transmis son incompétence à sa fille Beyina et aujourd’hui tente de créer l’émeute au sein du PCT. Tout aspirant à la députation sous les couleurs de ce parti obsolète devrait livrer ses fesses et faire allégeance à la LOGE maçonnique de Sassou et JDO.
Les membres du PCT qui veulent bénéficier de l’onction politique dudit parti aux élections législatives et locales 2022, sont à l’attente du verdict final qui sera rendu public le 28 février 2022.
Des membres du PCT qui ne seront pas investis par le comité national d’investiture (PCT) ne pourront pas faire acte de candidatures soit en utilisant le logo d’une autre formation politique soit en partant en indépendant. C’est la décision prise par Pierre Moussa le SG de ce parti.
De l’avis de certains observateurs de la scène politique congolaise qui ont préféré parler sous couvert d’anonymat, la méthode utilisée par le comité national d’investiture du PCT ne se repose pas sur des bases objectives et rigoureuses. Poursuivent-ils que dans le choix des candidats devront représenter le PCT aux élections législatives et locales, plusieurs facteurs subjectifs entrent en ligne de compte : L’achat de consciences, le parrainage, les règlements de comptes entre clans, le lobbying, les recommandations et autres. Ainsi donc, tant que le comité national d’investiture du PCT n’aura pas une véritable indépendance sur le choix des candidats devront représenter le PCT, les causes produiront les mêmes effets. Vrai ou faux ?
En réalité, nombreux membres du PCT ont été informés des conditions d’éligibilité qui se reposent sur l’allégeance à la Grande Loge du Congo qui dirigent JDO et Sassou. Quelques membres promettent une grande bataille contre Pierre Moussa qui n’est en réalité que le dindon de la face. En sous marin, ce sont Sassou et JDO qui tirent les ficelles.