Dans un rapport confidentiel Chinois parvenu à la présidence de la république, Pékin s’offusque du banditisme financier des proches de Denis Sassou Nguesso sur la gestion des prêts accordés au Congo dans le cadre de la coopération bilatérale. Faisant un état de lieu de leurs financement, Pékin note que nombreux sont des projets qui n’ont pas té réalisé convenablement alors que d’autres sont totalement inexistants. C’est le cas de la construction des logements sociaux à Mont Barnier, Ndouo et l’Île Mbamou dont l’argent a été décaissé et détourné pas les proches de Sassou dont Jean Jacques Bouya qui a utilisé les 70 millions de dollars destinés aux logements sociaux de l’île Mbamou pour s’offrir un complexe touristique privé Sakana Island.
Certains congolais qui encouragent le pillage des ressources de l’État ont toujours félicité le ministre Jean Jacques Bouya pour son investissement à l’île Mbamou avec son complexe touristique Sakana Island. Bouya a présenté cette réalisation comme un pas dans la diversification de l’économie nationale et rêvait déjà l’afflux des touristes dans cette île.
Jean Jacques Bouya avait juste caché aux Congolais que l’argent qui a servi à la construction de Sakana Island a été détourné des 70 millions d’un prêt chinois pour la construction des logements sociaux à l’île Mbamou. Voilà des gens qui disent aimer le Congo qui utilisent les fonds publics à des fins privées.
En 2014, la Chine octroyait au Congo différents prêts dont celui de 70 millions de dollars pour la construction des logements sociaux de l’île Mbamou. Le gouvernement avait négocié bien en amont ce prêt qu’il n’a toujours pas remboursé bien qu’il a tenté en vain d’en obtenir un rééchelonnement auprès de Pékin.
Une fois les 70 millions de dollars décaissés, Jean Jacques Bouya qui en assurait la gestion a été vite envoûté et a oublié les objectifs réels de cet argent et l’a mis dans sa poche comme sien. Au lieu de construire les logements sociaux, il a préféré s’offrir un complexe touristique baptisé Sakana Island. Le reste de l’argent a servi à la construction d’autres biens immobiliers privés à Tchikapika et surtout à gérer ses nombreuses maîtresses.
Ce sont ces mêmes personnes qui se présentent devant les Congolais pour leur vendre le rêve de l’émergence en 2025 alors qu’ils ne sont que des voleurs et parvenus qui ont fait du Congo leur champ de maïs. Ils savent que sans le pouvoir, ils ne sont rien et font tout pour le conserver au prix de tout. La preuve palpable est le chaos des élections du 10 juillet où le PCT s’est remarqué par la tricherie et l’obstination de ne pas perdre.
Entre temps à l’île Mbamou, les populations qui ont été bien enculées par Bouya et le clan de l’Alima ne jurent que par le nom du PCT. Elles oublient simplement que les 70 millions de dollars décaissés pour l’amélioration de leurs conditions de vie ont fini dans la poche d’un voleur qui les fait payer pour visiter Sakana Island.