Le temps est la meilleure réponse à toute démagogie et surtout à toutes hallucinations. Dans ses rêves, Denis Sassou Nguesso, avait promis de faire du Congo un pays émergent en 2025. Tout de suite toute sa bande dont les soi-disant intellectuels se sont lancés dans la propagande idiote apportant des arguments de tout genre aux septiques rationnels. Le marseillais d’Ewo Asie Dominique a même bénéficié des espaces sur télé Congo pour faire avaler au peuple ce rêve utopique que personne n’ose plus évoquer à ce jour y compris son mentor Sassou.
Malgré la succession des promesses mensongères de Denis Sassou Nguesso son troupeau de moutons s’active avec ferveur chaque jour pour défendre le dernier en date. A certains moment, ce troupeau a crié et haut fort sur la promesse d’embauche de 2000 enseignants.
« Bozoba eza volonté ! » disent souvent les Kinois. Et on peut facilement deduire que le troupeau de Sassou s’auto-aliènent parfois pour des miettes. Des personnes cohérentes auraient depuis compris être en face d’un menteur de grande envergure.
Dans ses discours, Denis Sassou Nguesso ne fait plus mention à son émergence 2025 pourtant tant vantée. En 2009, il promettait 40000 emplois aux jeunes et jusqu’à ce jour, c’est plutôt le chômage qui est devenu leur compagnon fidèle.
Le baromètre économique de ces minables gouvernants est le paiement des salaires des fonctionnaires. Ayant payé celui de Septembre à terme échu, ils ont osé affirmer que la sortie du tunnel était largement amorcée. Nous en sommes évidemment à des années-lumière.
Il faudra desserrer l’étau fiscal pour dynamiser les petits investissements nationaux , une économie nationale qui repose uniquement sur des entreprises et commerces étrangères est vouée à l’échec !
Le troupeau à Sassou croit que leur chef paie les Congolais avec l’argent sorti de ses poches et s’en vantent sur les reseaux sociaux. Se rejouir du paiement de salaire avec l’argent de l’Etat par Sassou est comme remercier un distributeur automatique de vous livrer votre propre argent.
L’éffondrement de la corniche de Brazzaville a révélé aux Congolais l’idiotie desmesuré des proches du pouvoir qui ont accusé le dérèglement climatique. Un changement climatique qui ne s’est attaqué qu’à la portion de cette corniche construite par les Chinois et épargné celle de la société française Razel. Un pays est en danger quand les idiots ne se reconnaissent plus et pensent être intelligents plus que les autres.
Dans deux mois, l’année 2025 va se pointer au Congo et personne ne pourra se réjouir de vivre dans un pays émergent. La belle excuse a déjà été trouvée par le bouffon premier ministre qui au lieu de sursoir ce rêve bidon est venu le reporter. Des incompétents qui sont incapables ne fut ce que de donner de l’eau potable de façon permanente au centre-ville de la capitale politique rêvent néanmoins d’une émergence. Plus personne ne parle de l’émergence et l’évoquer est devenu synonyme de moquerie contre le pouvoir.