Bipé par la mort Jean François Ndenguet confesse ses péchés et s’accroche désormais à Dieu

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Un cancer a comme résultat final la mort bien que celui qui le souffre s’efforce à maintenir le calme et à tenter une solution médicale. L’actuel directeur général de la police congolaise sait que ses jours sur terre sont à compter d’autant plus que dans le cercle du pouvoir on s’attend déjà à sa mort et la nomination de son successeur. Jean François Ndenguet s’emploie désormais à demander pardon à Dieu et à éviter à ajouter d’autres péchés.

Il est rentré de sa dernière visite médicale du Maroc avec la même sensation habituelle, que ses jours sur terre sont à compter et qu’à tout moment le pire peut arriver. Tout le paraître communicationnel n’est que pour calmer ses proches et surtout ses ennemis qui attendent avec impatience le moment fatidique.




Dans ce monde existe des maladies auxquelles personne ne peut lutter, et Jean François Ndenguet le sait depuis que les médecins qui le suivent au Maroc le lui ont signifié. En attendant sa mort, Ndenguet essaie d’ordonner le futur de sa famille.

Conscient que même le pouvoir lui a déjà trouvé un successeur, le DGPN a trouvé un nouveau confident en Dieu. Celui qui n’hésitait pas à éliminer des bandits et innocents implore chaque fois le pardon du Seigneur chez deux Mamans Mimbikudi de Brazzaville.

Ndenguet ne cesse d’implorer la miséricorde de Dieu pour tous les forfaits qu’il a eu à commettre selon lui, sous contrainte de la république. Il veut rejoindre l’au delà en paix avec sa conscience.




Alors que le phénomène bébé noirs s’intensifie dans les quartiers nord, Ndenguet qui ne veut plus avoir des cadavres sur sa conscience a presque délégué à ses adjoints les pouvoirs de décision contre ce fléau.

Très tard la nuit et discrètement, il se rend souvent dans un quartier sud de Brazzaville louer Dieu chez une religieuse. «  Ma maladie m’a fait montrer mes véritables ennemis » reconnaît-il.




Le jour de sa mort on entendra : «  Nzoku a kweyi, l’éléphant est tombé » parce que nul ne peut lutter contre certaines maladies et la volonté de Dieu. Que tout est vanité sur terre