Jean Jacques Bouya, le Mbaki des règles de l’art à visité sa corniche de 72 milliards FCFA

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Ce matin, les Congolais se sont réveillés avec la nouvelle de l’écoulement d’un tronçon de la corniche de Brazzaville suite à la pluie qui s’est abattue sur la ville la nuit. Chaque jour, cette pluie révèle l’incompétence connue de tous du ministre Jean Jacques Bouya à qui Sassou Nguesso fait encore confiance.

Inaugurée en grande pompe et construite selon les règles de l’art, la corniche de Brazzaville a cédé hier nuit aux MANGUNGUS de la pluie et étalée le vrai visage de son maître d’ouvrage Jean Jacques Bouya. Depuis quand un aviateur, habitué à vivre en l’air peut-il moderniser le sol ? Bouya a osé et à échoué.




Ce neveu du chef de l’État incarne en lui-seul toutes les bêtises d’un pouvoir dont la survie se repose sur l’armée tribale et le traumatisme imposé à une grande partie de la population.

Tout les ouvrages construits par Jean Jacques Bouya s’en vont à petit feu à cause du mauvais travail fait par les Chinois, ayant vu préalablement le budget réduit par les 40 % attribués aux caciques du pouvoir.




Mais Bouya sait que rien de grave ne lui arrivera et sera même reconduit ministre lors du prochain remaniement. Ainsi va le Congo.

Le pouvoir de Brazzaville a habitué les congolais ces dernières années à des poses de premières pierres et des inaugurations pompeuses lors desquelles le sinistre des Grands Travaux, M. Jean Jacques Bouya, abreuve les participants, de sa litanie habituelle sur les « bijoux » et « chefs-d’œuvre » à mettre à l’actif de M. Sassou Nguesso.

Toutes ces bricoles que le pouvoir qualifie de grands travaux ne représentent en réalité que le petit bout de la face cachée de l’escroquerie et du vol, organisés et encouragés, au sommet de l’état. Les congolais ne supportent plus cette « BOUYABAISSE » très indigeste.

Cela est d’ailleurs amusant de constater que M. Sassou Nguesso et son gouvernement mettent toutes les destructions d’infrastructures visibles aujourd’hui sur le dos du réchauffement climatique.

Si une pluie est capable de détruire tous les « grands travaux » d’un pays alors que sous d’autres cieux les infrastructures résistent aux cyclones, tsunamis et même aux tremblements de terre, cela montre à suffisance l’amateurisme et la désinvolture de l’équipe qui dirige notre pays. Les amateurs sont donc à l’épreuve du temps !




Il est clair que si M. Sassou Nguesso était un homme sérieux, le sinistre des Grands Travaux, M. Jean Jacques Bouya, serait depuis longtemps en prison.

Malheureusement chez les amateurs et les pieds nickelés, le seul critère qui concoure au choix des collaborateurs demeure la fidélité.

Comme vous avez mis tous les sorciers, féticheurs, marabouts et charlatans du Congo au Conseil Consultatif des Sages, il serait peut-être temps de leur demander d’arrêter la pluie. Au moins, ils serviraient à quelque chose.