Le colonel F Ndinga de la police a préféré mettre fin à ses jours que de faire plaisir à ses parrains de la Grande Loge du Congo. On lui avait exigé d’entretenir des rapports sexuels avec sa propre fille de 16 ans, encore lycéenne dans une école privée huppée de Brazzaville. Appartenir à la Grande Loge du Congo implique des sacrifices inhumains dont certains membres ont du mal à consentir.
Souvent en voulant trop gagner on perd ! Au lieu de se contenter du peu que le travail leur procure, nombreux sont des congolais qui tombent dans le piège de la Grande Loge du Congo qui a transformé cette secte en un tremplin inconditionnel de promotion au Congo.
Toute personne aspirant à devenir « quelqu’un » au Congo est obligé de faire allégeance à la franc-maçonnerie avec toutes les conséquences qui vont avec. Bien que colonel de son état, F Ndinga s’est laissé séduire par les paroles mielleuses de la Grande Loge du Congo.
Quelques mois après son initiation, et ayant commencé à profiter des avantages que procure appartenir à la Grande Loge du Congo, le défunt colonel F Ndinga a commencé à recevoir des instructions sur la redevabilité. La doctrine du « donner et du recevoir ».
Quand il est sorti du bureau de son parrain, le défunt colonel F Ndinga n’en revenait pas et s’est dirigé avec son véhicule droit aux alentours du stade Alphonse Massamba-Debat pour mieux réfléchir. Il lui a été intimé l’ordre de coucher avec sa propre fille sans préservatif et de ramener au temple le mouchoir spécial avec lequel il devrait nettoyer son pénis et le vagin de sa fille.
Tout de suite il a compris qu’on lui demandait de sacrifier sa fille unique de 16 ans. Le colonel F Ndinga a préférer se suicider que de perdre sa fille. La veillée mortuaire se tient à Massengo dans la banlieue nord de Brazzaville.