Quand les ministres de Makosso se moquent de leur collègue Arlette Soudan

0
4121

La vidéo de la ministre Arlette Soudan sur ses élucubrations sur le tourisme médical a tellement fait rire ses collègues du gouvernement qu’elle est devenue un sujet de moquerie. On a entendu un ministre à son assistante : «  arrêtes de rêver comme Arlette ! » et un autre lancer à sa garde : «  Si tu te casses la jambe, tu iras te faire soigner à Oyo ! ».

Il n’est pas plus un secret pour personne que la majorité des ministres du gouvernement Makosso ainsi que Claudia Sassou ne portent pas Arlette Soudan dans leurs cœurs. Et celle qu’ils considèrent comme une intruse mal éduquée ne cesse d’enchaîner bourde sur bourde dont la dernière est une interview dans laquelle, sans doute sous les effets des substances nocives, elle a vanté les exploits inexistants de l’hôpital Edith Lucie Bongo d’Oyo.

« Voilà une menteuse qui est censée vendre le bassin du Congo aux occidentaux qui excelle dans la bêtise ! » a lâché un ministre influent. L’étonnante promotion de cette ministre est souvent liée au canapé parmi les ministres et conseillers du chef de l’État au point où son matalana provoque des rires.

Un jour à l’aéroport de Maya Maya dans l’attente du chef de l’État, le maquillage de Soudan a poussé un groupe de ministres à s’exercer dans le songui songui. « Mais vous aviez vu à quoi ressemble cette bavarde ? » lançait un ministre à ses collègues.

On raconte à la présidence qu’à Madrid après le mot du chef de l’État après qu’elle s’est lancée dans un atalakouisme sauvage et honteux, Arlette Soudan s’est fait remonter les brettelles par Claudia Sassou qui lui aurait reproché aussi de s’être introduite dans la chambre de son père de nuit.

Un ministre a conclu que les agissements bizarres de sa collègue ont un lien étroit avec son mariage à distance avec son blanc de jeuneafrique. « Si le blanc ne la touche presque pas, c’est normal qu’elle développe une sorte de paranoïa »

Alors que son bilan est multiplié par zéro, Arlette Soudan aime faire croire à l’opinion avoir réaliser des exploits depuis sa venue accidentelle au sein du gouvernement.