C’est en 2015 que le président de la république du Congo, le tyran Denis Sassou Nguesso a modifié la constitution de son pays par voie référendaire dans le seul et unique but de se perpétuer au pouvoir. La nouvelle république tant vantée et qui a servi d’excuse s’est avéré qu’une chimère. La France sous François Hollande qui avait pourtant décidé de faire partir le chef du cartel d’Oyo s’est rétracté à la dernière minute en le donnant un feu vert. Mais les services secrets français ont arrêté leurs écoutes téléphoniques sur Sassou qu’en 2019 sous Macron.
Malgré tous les dispositifs sécuritaires achetés en Israël, la présidence du Congo est un champ ouvert à l’espionnage français qui l’a mis sur écoute entre 2015 et 2019. A l’Élysée, une source indique que le palais présidentiel Congolais dispose d’une ligne téléphonique française avec des numéros aux indicatifs de la région parisienne.
Quand François Hollande accède à la magistrature suprême en France, il est obsédé par le rêve de ne plus voir Sassou à la tête du Congo. Ses amis socialistes africains le lui ont convaincu et le français se passe du monde des affaires qui tient à protéger le tyran d’Oyo.
François Hollande sort même du cadre diplomatique à Dakar lors d’un sommet en indexant directement Denis Sassou Nguesso comme l’incarnation du mal Congolais et un mauvais exemple pour la démocratie africaine. Le chef du cartel d’Oyo dont l’entourage a déjà peaufiné les stratégies d’une modification de la constitution est hésitant et joue la carte pétrole pour faire fléchir l’Élysée.
C’est Bolloré qui prend la tête des incrédules affairistes Français pour plaider le cas Sassou auprès de François Hollande. Denis Sassou Nguesso qui réussi à décrocher une visite à l’Élysée reçoit le feu vert d’organiser son referendum anti constitutionnel qui sera soldé par une répression sanglante à Brazzaville et dans les villes du sud.
La France qui a abdiqué face à Sassou va néanmoins le mettre sur écoute entre 2015 et 2019 dans l’unique but de conserver leurs intérêts économiques face au rapprochement du régime de Brazzaville avec Moscou et Pekin. C’est en 2019 que Macron a mis fin à cet espionnage du Congo par ses services. A l’Élysée, on dispose même du dossier clinique de Sassou Nguesso.