Il s’est tenu à Paris sous la houlette du président français Emmanuel Macron, un sommet sur la relance des économies africaines durement frappées par la pandémie du Covid-19. Plusieurs chefs d’État ont pris part à cette rencontre dont Denis Sassou Nguesso, chef d’État fraîchement réélu du Congo. Au cours de son allocution devant ses pairs, l’Empereur du Congo a proposé encore et une fois l’annulation des dettes contractées par des pays africains. Une proposition qui a fait sourire plus d’un participant et provoqué des moqueries envers son auteur. En 2010, le FMI et d’autres institutions avaient annulé la totalité de la dette Congolaise et classé le pays dans le rang des PPTE. A ce jour, le Congo est surendetté et à genoux de nouveau devant ces institutions à cause de la cupidité et mauvaise gestion de Denis Sassou Nguesso.
Denis Sassou Nguesso, Empereur du Congo qui a forcé sa participation au sommet de Paris sur la relance des économies africaines, a une fois de plus brillé par son ignorance des dossiers brûlants sur les économies africaines et a confondu tout à Oyo son village d’où il a réduit le Congo à son image.
Alors que le Congo avec son gouvernement est incapable de respecter ses engagements pris avec le FMI et que le pays est en banqueroute totale, l’Empereur s’est perdu dans un monologue devant ses pairs sur l’annulation totale des dettes africaines. Une proposition qui a fait rire les participants à ce sommet au vu des antécédents du Congo de Sassou Nguesso.
Rappelons qu’en 2010, le Congo avait bénéficié d’une annulation totale de sa dette et classé pays PPTE afin de profiter de tous les avantages y relatifs pour relancer son économie. Hors, Sassou Nguesso et son clan en ont profité pour piller les ressources et revenus du pays, l’enfonçant un peu plus dans le gouffre. Aujourd’hui le pays traverse une crise à tous les niveaux et seule la traque par les services de sécurité empêche un soulèvement populaire.
Avec l’argent volé et caché dans des paradis fiscaux et autres endroits, Denis Sassou Nguesso a crée un circuit parallèle lui permettant de contourner le FMI et assurer au ralenti la marche de l’État. A l’entendre demander de nouveau l’annulation de la dette, les chefs d’État des pays conscients se sont rendus compte d’être en face d’un pyromane fou.