Crash raté hier du vol Air France Paris-Brazza : les gens ont prié en patois et confessé(Vidéo)

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Le vol d’Air France AF 736 reliant Paris et Brazzaville a connu un grave incident technique peu avant d’aborder sa descente sur l’aéroport de Maya Maya. Une panique générale s’est emparée des passagers Congolais,lesquels, sentant la mort se sont lancés dans une série de prières afin d’obtenir les faveurs de Dieu. Même les païens et les pécheurs notoires ont prononcé le nom de Jésus Christ.




Selon les témoignages des passagers de ce vol tumultueux, des aveux insolites ont été entendus pendant ce incident technique qui n’a rien à voir avec la religion. Un parisien aurait imploré le Seigneur de prendre possession de l’Airbus afin que rien de fâcheux ne lui arrive, vu que c’était son premier retour au pays avec ses six valises d’habits.




Plus loin encore, une femme avouait avoir voyagé à l’insu de son époux qui la croyait en Belgique et sollicitait la miséricorde de Dieu. Un autre Parisien, reconnu grand voleur et vendeur des objets subtilisés à Château Rouge a aussi reconnu Jésus Christ comme son sauveur. Un vol de ouf ! Dirait le P Breziani Mayala.

Décollé avec un retard de 2heures, de l’aéroport parisien Roissy Charles Degaulle, le vol AF736 de la compagnie française Air France à destination de Brazzaville au Congo a souffert d’un problème technique sur l’espace aérien gabonais.




Malgré les appels au calme de l’équipage, les passagers, surtout Congolais se sont affolés transformant l’avion en une église où chacun balançait ses prières. Certains se sont même permis de chercher comment sortir de l’appareil, comme s’il était possible de le faire à 10000 mètres d’altitude.




A leur arrivée à destination, un passager confie avoir été partagé entre rires et angoisse en écoutant des prières en Mbochis, Lari, Téké… Il est claire que le Congolais adore la vie et déteste la mort. Face au calme des passagers blancs, les Congolais ont livré un spectacle digne des gens qui n’ont pas inventé l’avion.




« Ah ! Cédric avec qui je vais te laisser ! » se lamentait une femme, nouvellement mariée. Si en classe économique la panique a été de taille, en première, deux autorités du pays auraient  aussi, prononcées le nom de Jésus-Christ malgré tout le tort causé au pays. Le pilote qui a repris le contrôle de l’appareil s’est posé à l’aéroport de Pointe-Noire, plus proche de celui de Brazzaville.