Tout le monde sait que depuis son échec scolaire rattrapé par une intégration dans l’armée,Denis Sassou Nguesso a toujours souffert d’un complexe d’infériorité digne d’un bon paysan pêcheur .Pour la même raison, il s’est arrangé à revenir au pouvoir par la voie des armes afin de continuer à être le centre d’attention des Congolais.
Denis Sassou Nguesso est ce père de famille qui préfère éteindre le feu chez le voisin alors que sa propre maison brûle avec ses enfants à l’intérieur. Son obsession à être désigné médiateur dans tous les conflits africains en est un exemple.
Il est un villageois complexé qui a échoué dans les études à cause de la pauvreté aiguë de ses parents,mais surtout de sa caution intellectuelle très limitée qui s’est vite transformée en malice et ingéniosité.
Dans son combat quotidien d’être toujours sous les feux des projecteurs,Denis Sassou Nguesso a rendu milliardaire un journal édité à Paris par un Tunisien dont son beau fils en est le rédacteur en chef.Et que dire de ses nombreux escrocs qui défilent chaque nuit à Mpila pour recevoir leur part du gâteau.
Emmanuel Macron,l’actuel chef de l’État Français déclarait en privé lors d’une réunion avec ses collaborateurs originaires d’Afrique ne pas comprendre comment certains chefs d’État pouvaient dépenser des millions d’Euro en lobbyng pour quelques minutes d’entretien avec lui et d’autres dirigeants occidentaux.
Et le principal et presque unique dépensier en ce sens, semble bien être Denis Sassou Nguesso, qui ne s’est pas encore récupéré du célèbre « dribble » de Donald Trump à Miami.On se souvient que le chef d’État du Congo avait passé plusieurs jours coincé dans un hôtel dans l’espoir d’être reçu par le président fraîchement élu des USA.
Pour l’occasion,l’idiot malin Denis Sassou Nguesso avait utilisé son statut du haut représentant de l’UA chargé de la crise libyenne. Un astuce qui n’avait pas collé.
Toujours dans la rhétorique de vengeance,Denis Sassou Nguesso a investit près d’un million d’Euro en lobbyng dans l’espoir d’avoir enfin son selfie avec Donald Trump. Des cabinets d’avocats américains de prestige et quelques congressistes ont reçu comme on le dit au Congo des Nguiris pour plaider son cas auprès de leur premier citoyen.
Dans l’entourage du président Congolais on tient coûte que coûte à faire taire toutes les voix qui se sont moquées du rendez-vous manqué de Miami.Pour un villageois,prendre un taxi à Brazzaville était un objectif à atteindre peu importe la manière et les circonstances,et c’est le cas de Sassou pour son selfie avec Trump.