Le DG de l’École Africaine de Développement (EAD) vient de rendre l’âme le vendredi 29 Octobre 2021, et ce, suite à la campagne de vaccination réalisée dans ladite école qui a duré deux journées. Il s’agit du vaccin Johnson & Johnson qui y avait été administré à la quasi totalité des étudiants et du personnel.
Pour se soumettre au chantage du gouvernement sur l’obligation vaccinale dans le seul but de vider leur stock de dons et faire plaisir aux donateurs, la direction de l’École Africaine de Développement en sigle EAD a lancé une campagne de vaccination impliquant tous ses étudiants et son personnel.
Le vaccin choisit à cet effet est l’américain Johnson & Johnson alors que la majorité des Congolais reçoivent le Russe Sputnik et le Chinois Synovac. Le DG du dit institut qui a reçu une dose du vaccin américain est mort quelques heures après avoir senti un malaise.
Dans les centres de vaccination au Congo, le personnel médical ne perd pas son temps pour en savoir un peu plus sur la situation clinique des personnes et les inoculent la dose. Beaucoup de personnes présentent des réactions secondaires après la prise de la dose Johnson & Johnson et on parle déjà de plus de 40 morts liés à cet effet.
Les autorités sanitaires américaines ont averti lundi d’un « risque » accru de développer le syndrome de Guillain-Barré, une rare maladie neurologique, avec le vaccin anti-Covid-19 de Johnson & Johnson. Les bénéfices du vaccin continuent cependant à l’emporter sur les risques potentiels.
Le syndrome de Guillain-Barré est une atteinte des nerfs périphériques caractérisée par une faiblesse voire une paralysie progressive, débutant le plus souvent au niveau des jambes et remontant parfois jusqu’à atteindre les muscles de la respiration puis les nerfs de la tête et du cou. Cette maladie affecte entre 3 000 et 6 000 personnes chaque année aux États-Unis.