Les congolais se demandent souvent où va l’argent des mines qui sont exploitées par-ci par-là sur toute l’ententue du territoire, et d’après nos recherches, toutes les mines du Congo ont été privatisées, aujourd’hui elles appartiennent exclusivement à la famille Oba pierre, le ministre des mines et de la géologie.
Contrairement aux idées reçues, le Congo-Brazzaville n’appartient plus aux congolais, il est dirige comme un cartel où chaque famille mafieuse règne en maître sur un périmètre donné, c’est le cas des enfants du ministre Pierre Oba, ils ont a eux seuls le monopole de plus de 35% sur les mines du Congo.
Pendant ce temps, le président sassou-nguesso s’amuse à faire des fausses promesses à la jeunesse congolaise dont le taux de chômage s’élève à 90%, avec des slogan bidon du type 2024 déclarée année de la jeunesse.
La saga de la famille Oba ne s’arrête pas là, sa cupidité envers l’argent depasse tout entendement, elle aujourd’hui trempée dans un réseau de corruption internationale, et elle serait même en attente d’un procès pour corruption devant la chambré de commerce international au sujet des minerais de fer Nabeba-Mbalam dans le nord du pays, exploités conjointement par le congo et le Cameroun.
En effet, le groupe Australien Soudane avait été dépossédé du jour au lendemain du permis d’exploitation des minerais Nabeba-Mbalam au profit du groupe chinois Aust- sino, qui aurait corrompu la famille Oba pierre et la partie Camerounaise pour casser ce contrat.
En retour, ils ont reçus des milliards de Francs CFA du groupe chinois pour avoir chassé le groupe australien dont la notion de corruption était contraire à son éthique, en revanche le groupe chinois qui aurait corrompu le ministre Pierre Oba s’en fiche éperdument des dégâts causés par les rejets toxiques dans l’environnement.
Aussi, pendant que l’affaire est encore en litige, les enfants du ministère Oba pierres se sont permis de vendre tout le matériel appartenant à l’entreprise australienne à Souanké à une obscure entreprise Camerounaise pour un montant de 160 millions de CFA, laissant ainsi les travailleurs de l’entreprise Australienne sans salaire et abandonnés à eux-mêmes.
Aujourd’hui, les congolais sont surpris de constater que le pays soit en cessation de paiement, mais si l’argent des mines et du pétrole ne sont pas versés au trésor public, il est tout fait logique que l’état finisse en faillite.
Si le pays était dirigé par quelqu’un de sérieux, le ministre pierre Oba serait déjà démis de ses fonctions et son dossier aurait été transféré à la justice congolaise.
