De nos jours, de nombreux gratte-ciel de ciment, de verre et d’acier s’élèvent dans la plupart des capitales économiques africaines.
Mais à Pointe-Noire, la capitale économique du Congo-Brazzaville, s’étendent des habitations disparates, construites de façon anarchique, en bois, en tôles, en briques de boues ou avec tout autre matériau disponible.
La ville de Pointe-Noire est pourvue de rues et avenues de terre, et a en guise d’égout, des fossés à ciel ouvert.
La ville de Pointe-Noire s’agrandit avec des conditions de vie déplorables et son urbanisation est liée à une croissance négative.
Vous pouvez imaginer la mauvaise qualité des services des eaux, d’électricité, de téléphone, de circulation, des écoles, etc.
Il faut également citer la gravité des perturbations sociales, le niveau élevé de la criminalité et d’insécurité, la corruption et l’inefficacité du régime criminel de Sassou à apporter des solutions.
L’un des plus grands dilemmes auxquels est confrontée Pointe-Noire tient au financement du développement de la ville, à l’entretien des ordures et l’approvisionnement en eaux salubre et en électricité.
Fils et filles du Kouilou, réveillez-vous, car Sassou et sa famille pillent le Kouilou au détriment d’Oyo son village de pêcheurs.
Patrick Rosemberg