L’audio qui circule sur les réseaux sociaux dans lequel un jeune vivant dans un quartier nord de Brazzaville se plaint en lingala envers son parrain n’a étonné personne. Depuis des années, des jeunes principalement de la zone nord de Brazzaville se plaisent à se faire enculer en échange d’argent et d’un peu d’avantages socio-économiques. C’est la conséquence de la paresse qui habite en eux depuis des lustres.
Quelques années plus tôt, un autre jeune de Talangai avait vu son anus totalement bousillé par son parrain lors d’une partouze homosexuelle. A Ouenzé, Bertina a quitté précipitamment son foyer après avoir découvert que son époux n’était en réalité que la femme d’un autre homme. Il l’a épousé juste pour paraître et éviter le tuba tuba de sa famille.
Ayant fait de la franc-maçonnerie le chemin obligé pour aspirer à mieux vivre des richesses du pays, les membres du pouvoir abusent totalement des fesses des jeunes des quartiers nord de Brazzaville. Ils savent qu’ils ne sont que des paresseux à la recherche d’une vie facile.
Ces jeunes qui se font bousiller les fesses vivent dans la totale opulence dans la zone nord où ils construisent des maisons, poussant d’autres à suivre leur chemin. « Mibali na bisso ba koma bassi ya mibali misusu » est la phrase qui se répand dans la zone nord de la capitale politique.